• pedophilie a cannes

    Mr VERDI Patrice<o:p></o:p>

    C/O Mr VERDI Marcel<o:p></o:p>

    34 rue rené dunan<o:p></o:p>

    06150 CANNES LA BOCCA<o:p></o:p>


    Monsieur VERDI  Patrice                                    Cannes la Bocca le 18/03/09<o:p></o:p>

                     à

     <o:p></o:p>

    Mesdames ou Messieurs les élus locaux, <o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    J’ai l’honneur de vous écrire afin de vous signaler certains faits très graves pour ne pas dire inadmissibles qui vous prouveront que nous ne vivons plus en démocratie et qu’une cabale politique s’abat depuis 2001 sur ma personne ainsi que sur l’ensemble de ma famille afin de nous déstabiliser et de nous détruire socialement.<o:p></o:p>

    Fonctionnaire de Police Municipale depuis mai 1993, j’ai été l’auteur d’un rapport de problème potentiel de pédophilie été 2001 sur un individu qui prétendait être un ami du Député Maire de CANNES, Bernard BROCHAND, j’ai transmis la procédure au commissariat central de CANNES et ai demandé à l’OPJ de permanence que cette personne fasse l’objet d’une audition immédiate car les faits déclarés étaient d’une gravité extrême et mettaient en cause des notables de la ville, de plus le témoin de ces faits criminels, une jeune fille d’origine maghrébine, qui faisait partie des orphelins d’auteuil se sentait véritablement menacée par la gravité de cette histoire qui n’a eu à ma connaissance aucune suite judiciaire pour le moment pour leurs auteurs mais des conséquences sociales majeures et catastrophiques probantes pour le policier et le père de famille que je suis et qui les a dénoncés. <o:p></o:p>

    Curieusement peu de temps après, ma personne et ma fonction professionnelle sont mis en cause dans une affaire judiciaire qui a tenté de me détruire socialement et dont les dommages et intérêts demandés actuellement à la ville de CANNES représentée par son Député Maire Monsieur Bernard BROCHAND devant le TA de NICE sont de 1000000 d’Euros pour les raisons suivantes qui sont à mon sens incontestablement avérées :<o:p></o:p>

    Harcèlement moral (art 222-33-3 du CP) <o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Violation de la correspondance (art 226-15 du CP).<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Violation du secret professionnel (art 226-13 du CP).<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Coalition de fonctionnaires en vertu des Art. 233 à 236, 260 du Code pénal,<o:p></o:p>

    mais également et surtout pour discrimination sociale (art 225-1 à 225-4 du CP) par le refus de ma réintégration professionnelle et par l’émission de fausses fiches de paie pendant des années car je n’ai plus jamais pu reprendre aucune activité sociale depuis les faits évoqués en 2001 grâce à la complicité des autorités administratives de tutelle. <o:p></o:p>

    De fait, malgré la décision du 15 mai 2002 du TA de NICE ainsi que la commission de discipline dirigée par Gil CORNEVAUX concernant ma présomption d’innocence dans cette cabale judiciaire et politique montée de toute pièce afin de me discréditer socialement, je n’ai plus jamais travaillé, le Maire de CANNES a émis depuis cette date de fausses fiches de paye à temps complet en toute impunité car il n’est pas au dessus de la loi, il représente une forme de loi, celle de l’argent, car seule son influence sociale et économique au sein du gouvernement lui permette de ne pas s’y soustraire ouvertement et sans complexe, c’est d’ailleurs régulièrement la valse des hauts fonctionnaires d’Etat.<o:p></o:p>

    Mon avocat , Maître VALLIERGUE, le nouveau bâtonnier dédié du TGI de GRASSE, qui défendait mes intérêts dans cette coalition a signé par hasard et non par intérêt une injonction thérapeutique contre ma personne pour me faire interner, l’expert commis le Professeur ROURE m’a déclaré sain d’esprit le 17 Mai 2002 en précisant les faits suivants :  <o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Art 1 : « L’examen du sujet ne relève pas chez lui d’anomalie psychique ou mentale .»<o:p></o:p>

    Art 2 : « Les faits reprochés au sujet n’est en relation avec aucune anomalie mentale ou psychique .»<o:p></o:p>

    Alors pourquoi est-ce que la justice voulait elle me faire passer pour fou par le biais de mon avocat ?  <o:p></o:p>

    Tout simplement, afin de discréditer un Policier qui dénonce une affaire de PEDOPHILIE.<o:p></o:p>

    Le Professeur ROURE m’a demandé les raisons pour lesquelles je me trouvais là et que la seule explication possible était purement politique, je lui ai rétorqué de s’adresser à Mr DOUMAS, procureur, devenu procureur général pour ses qualités et aptitudes morales exceptionnelles en matière de classement vertical. Je tiens à vous préciser également que Maître Valliergue est l’avocat de René LEPORC, l’éditeur de Michèle MERCIER et également mon éditeur qui est un escroc condamné à 18 mois de prison ferme et 150000 euros d’amende et qui publie à la FNAC.COM mon livre « Le serment d’hypocrite » depuis 1998 sans me payer mes droits d’auteur et fait l’objet d’une plainte pour escroquerie et violation du CPI auprès du Procureur de la République du TGI de GRASSE des AM qui n’y prête jusqu’à présent aucune attention et ne me répond même pas alors qu’il y a eu une violation de mes droits d’auteur posé par l’article L.111-1 du code de la propriété intellectuelle (CPI) et que ces infractions sont sanctionnées pénalement (CPI, art L.335-1 à L.335-10).

    <o:p></o:p>

    J’ai d’ailleurs dénoncé ces faits depuis des années à  l’ensemble de la chaîne judiciaire et administrative mais pas exclusivement car le devoir de réserve ne peut s’appliquer communément aux personnes victimes de harcèlement et de discriminations sociales avérées pendant plusieurs années dans l’indifférence ou la complicité générale du pouvoir politique, administratif et judiciaire Français qui positionne le citoyen face à ses devoirs mais n’assure apparemment plus ses droits et a permis par son laxisme l’extradition de Monsieur LEPORC alias RENE DELERINS au Vietnam où son homonyme détient la compagnie maritime the Boy’s Maritime Compagny qui a organisé le 13/09/08 à HO CHI MINH Ville au Vietnam en partenariat avec le Bureau Economique du Consulat Général de France, le projet JANUS.<o:p></o:p>

    Le maire a émis un arrêté de radiation des cadres le 12/10/06, j’ai formulé une requête en annulation contre ce dernier auprès du TA de NICE car il existe une violation de mes droits à la défense en vertu de l’article 4 du décret du JO N°84-961 du 25 octobre 1984 qui précise la durée nécessaire entre la convocation initiale du fonctionnaire incriminé dans la procédure disciplinaire et la mise en place de cette commission. <o:p></o:p>

    J’ai saisi le juge des référés de la quatrième chambre du TA de NICE qui a rejeté ma requête en usant comme argumentation qu’il n’y avait pas urgence sans évoquer une seule fois le vice de procédure incontestable qu’il aurait pu dénoncer. <o:p></o:p>

    Mais de qui se moque t’on ?  La police s’est fourvoyée, la justice s’est égarée, l’administration fait l’autruche !<o:p></o:p>

    La quatrième chambre du TA de NICE a été dessaisie pour des raisons inconnues au profit de la septième chambre qui traite désormais (entre autres dossiers singuliers me concernant ) avec la troisième chambre le dossier suivant :<o:p></o:p>

    0605808 : Requête en annulation déposée le 13/11/2006 contre l’arrêté de radiation 12/10/06 émis par le Maire de CANNES, il est  nécessaire de préciser sans vouloir interférer dans le processus judiciaire :<o:p></o:p>

    -          que je bénéficie de la loi d’amnistie N°2002-1062 promulguée le 06/08/02 alors que des fonctionnaires qui ont des casiers judiciaires pour des condamnations plus graves sont restés en fonction.

    -          que je bénéficie de l’article 4 du décret du JO N°84-961 du 25 octobre 1984 car l’arrêté émis par Monsieur le Député Maire de CANNES le 12 Octobre 2006 précise que la lettre d’information en LR + AR envoyé par Monsieur Claude MORIN, adjoint au Député Maire de CANNES et délégué au personnel date du 14 Septembre 2006 et la réunion ainsi que la décision de la Commission Administrative Paritaire date du 26 Septembre 2006, il y a donc une violation manifeste du délai minimum de quinze jours des droits de la défense en vertu du décret précité.

    -          que l’ensemble de mes fiches de paie sont fausses depuis le 26/11/01, le grade, l’échelon, la date d’entrée, la fonction, le temps de travail à temps complet alors que l’on me refuse de travailler depuis 2001, la position de paie actuelle est la suivante « titulaire invalidité » ce qui est totalement faux et m’empêche de présenter mes bulletins de salaire pour trouver un logement car avec l’aide des banques et du receveur percepteur municipal qui m’a payé pendant sept ans avec une ou deux semaines de retard, j’ai perdu mon logement, je suis hébergé et ma situation sociale est devenue catastrophique, etc…

    -          L'article L.781-1 alinéa 1er du Code de l'organisation judiciaire précise les faits suivants :, "l'État est tenu de réparer le dommage causé par le fonctionnement défectueux du service de la justice. Cette responsabilité n'est engagée que par une faute lourde ou un déni de justice".

         Le délit constaté est donc été le déni par l’ensemble des autorités administratives et judiciaires de mon droit à la réintégration sociale en vertu de la décision du 15 Mai 2002 du TA de NICE qui a refusé ma radiation des cadres en application de la loi du 15 Juin 2000 sur la présomption d’innocence dont je n’ai jamais pu bénéficier, mes plaintes sont donc restées jusqu’à présent sans réponses ni effets sur ma situation sociale particulièrement dégradante car lorsque l’on prive un individu de son droit élémentaire au travail par le refus de sa réintégration , on le prive systématiquement de toute dignité humaine et de tout respect de la part de nombreux citoyens.

     <o:p></o:p>

                           Cette situation de stress permanente a engendré des problèmes de santé graves qui peuvent être            

                           prouvés par des certificats médicaux des spécialistes concernés.

     <o:p></o:p>

    Je tiens également à vous tenir informer sur la position de pouvoir excessif et de partialité prise désormais par le Tribunal Administratif de NICE par le biais d’une lettre recommandée en date du 11/03/09 envoyée par Monsieur le Président Patrice BLANC qui soulève désormais un Moyen d’Ordre Publique et tend à rendre irrecevable tous les moyens de défense enregistrés plus de deux mois après la saisine du Tribunal.

    Les Moyens d’Ordre Public relevant de la légalité interne sont liés principalement à la méconnaissance du champ d’application de la loi de certaines pièces du dossier et non à l’intégralité de ces dernières à une date antérieure à l’enregistrement de celles qui permettent de mettre en évidence un vice de procédure déterminé par un décret du Journal Officiel du 27/10/84 ou une décision du Tribunal Administratif de Nice prise en session le 15/05/02.

    Vous comprendrez aisément que cette décision nouvelle qui n’a jamais été appliquée dans mon dossier mais aurait pu et même aurait donc du être soulevée logiquement par les juges des référés saisis dans cette affaire concernant :

     <o:p></o:p>

    -          L’ordonnance du 17/01/08 pour le référé suspension du dossier N°0706890-94 émise par le juge des référés B. PARISOT qui n’a soulevé aucun MOP,

    -          L’ordonnance du 05/02/09 pour le référé provision du dossier N°0806724-97 émise par le juge des référés et Président du Tribunal Administratif de NICE, Monsieur Francis MALLOL qui n’a soulevé aucun MOP,

     <o:p></o:p>

    démontrent que le tribunal administratif de NICE a utilisé mes mémoires en défense jusqu’au 05/02/09 et tient à les rendre désormais irrecevables afin de m’empêcher de faire appel et de reconnaître la responsabilité de la commune dans cette affaire car il existe de toute façon une violation manifeste de mes droits à la défense dénoncée dans mes mémoires en vertu de l’article 4 du décret du JO N°84-961 du 25 octobre 1984 qui casse l’arrêté de radiation du 10/10/06 pour vice de forme car le délai minimum entre la tenue de la CAP et l’émission de l’arrêté de radiation n’a pas été respecté mais aussi une volonté d’exclusion sociale car la décision du 15/05/02 du TA de NICE n’a jamais été appliquée par le Maire de CANNES qui m’a exclu volontairement de toute vie professionnelle depuis cette date.

    Je suis en arrêt de travail depuis plusieurs mois pour dépression même si je ne travaille plus depuis 2001 car je suis victime d’un harcèlement social et  financier permanent, même le Conseil Général refuse actuellement de me verser le RMI et me réclame paradoxalement un indu de paiement abusif de 686.66 euros par le titre exécutoire N°10690, parallèlement  le receveur percepteur municipal me réclame la somme de 5336.07 euros totalement injustifiée par le titre exécutoire N°557 que je conteste également auprès du TA qui appréciera le machiavélisme de l’administration qui s’acharne sur ma famille alors que je perçois seulement 700 euros environ du receveur percepteur municipal pour vivre chaque mois sans tenir compte de mon échelon, de mon grade et de mon ancienneté au sein du service.<o:p></o:p>

    Je vous précise également que ma dernière note administrative légale de 2000 est de 18.50 /20 en raison de mes aptitudes professionnelles, de l’obtention de mon diplôme de formateur de police auprès du CNFPT mais aussi pour l’informatisation du service, etc.… <o:p></o:p>

    Je suis inscrit comme demandeur d’emploi à l’ANPE depuis 2006 pour percevoir un traitement de la mairie qui avait suspendu mon salaire malgré ma requête en annulation mais je ne dépends pas du régime général mais du régime des fonctionnaires qui me ferait commettre un délit si je travaillais alors que le TA de NICE doit me réintégrer dans mes fonctions sociales devant un vice de forme incontestable. Je suis donc un faux demandeur d’emploi si je tiens à ne pas perdre mes quinze années d’ancienneté dans l’administration.<o:p></o:p>

    Je ne dénonce rien, je subis une situation sociale intolérable d’exclusion qui perdure sans fin et semble s’éterniser au TA de NICE afin d’user ma patience et mon courage et dont les membres de ma famille sont également les victimes de façon indirecte car l’état de droit n’existe plus dans ce pays quand certains élus en ont les moyens, d’ailleurs j’ai alerté tous les avocats du barreau de GRASSE et de NICE et aucun ne veut me défendre dès que je prononce le nom du Maire de CANNES car ils y associent encore son frère et les réseaux d’influence acquis par ces deux représentants de l’Etat au sein de certaines corporations puissantes que sont la Police et la Justice.<o:p></o:p>

    Cette misérable affaire remet en cause le fonctionnement et l’indépendance des institutions de la République Française dont vous êtes désormais le dernier garant en raison de l’absence de réponse probante des autorités judiciaires de surveillance et de contrôle des agissements du Député Maire de la ville de CANNES qui a violé et viole encore la loi délibérément tous les mois depuis des années sans être inquiété par personne.<o:p></o:p>

    Dans l’attente de vous lire, je vous prie de croire, Mesdames ou Messieurs les élus locaux, à l’assurance de ma considération distinguée et en ma déception accentuée de la valeur de nos institutions sauf peut-être mais avec de nombreuses réserves pour la médecine qui doit nécessairement tenter de conserver une indépendance d’action et de pensée qui permet aux différences culturelles, intellectuelles et morales de se mélanger afin d’obtenir une mixité d’idées nécessaire à un foisonnement intellectuel permanent qui sauvera l’humanité de son ignorance et de sa perfidie.                       <o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    VERDI Patrice<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    PS  :  Aucun élu ne pourra prétendre maintenant qu’il ne savait pas ce qui se trame à CANNES !  <o:p></o:p>

    PS1 : L’ancien premier ministre Dominique de VILLEPIN a déclaré publiquement : « la Justice peut être instrumentalisée », nous pouvons facilement envisager une extrapolation probable de ses paroles à l’ensemble des rouages publiques qui en dépendent dans une démocratie qui se transforme progressivement en un impérialisme du capital où l’individu devient un consommable par l’abandon progressif et tangible de toute forme d’humanité comme valeur morale essentielle de notre survie.<o:p></o:p>

    PS2 : Je suis devenu « Ennemi d’état  » car je dénonce un système mafieux qui a jumelé à mon sens CANNES avec la mafia, les services secrets Français et Etrangers mais avant tout avec cette merveilleuse ville de THEOULE  sur MER dont le suicide d’André Charles BLANC arrange bien des personnes qui le connaissaient très bien et se retrouvent par hasard être devenus les bras droits du Maire de CANNES quel que soit la qualité de leur casier judiciaire alors même qu’ils étaient auparavant les amis proches de Michel MOUILLOT qui est tant décrié avec force et conviction par le Maire de CANNES actuel qui n’a certainement pas de miroir chez lui. <o:p></o:p>

    PS3 : La ville de CANNES devrait finalement être jumelée avec VICHY, ce serait moins hypocrite de la part des autorités Françaises qui entretiennent un climat de suspicion et de culpabilité généralisées alors que la niche fiscale du pays pourrait rapporter 75 millards d’euros par an à des fins de justice sociale même si le quotient familial en fait déjà parti ce qui représente bien entendu l’arbre qui cache la forêt.


  • Commentaires

    1
    nonprevu06
    Mardi 16 Juin 2009 à 22:55
    MESSAGES SUPPRIMES PAR LEPOST.FR


    PEDOPHILIE CANNOISE - FRANCE - SCANDALE POLITIQUE
    “ Courage, pour détruire une organisation criminelle, il faut la connaître, chez les flics c'est l'omerta des fonctionnaires qui cherchent à plaire à nos amis politiques d'auxerre par ex, donc il faut dénoncer et utiliser les médias pour que ces pervers soient éliminés de notre société car pour ces prédateurs d'enfants, il faut des méthodes musclées ou radicales quel que soit le rang social de ces criminels.
    Vivre, c'est savoir pourquoi l'on vit !
    Je suis un flic fini pour eux mais eux n'ont jamais débuté et ne débuteront jamais rien en matière de justice sociale et de défense des droits de l'homme et de l'enfance. ”

    PEDOPHILIE CANNOISE - FRANCE - SCANDALE POLITIQUE
    “ Pourquoi outreau ?

    C'est le glaçon qui cache l'iceberg, car nous avions :

    un juge médiocre, une affaire complexe, un parquet qui laisse faire contre certains notables et tout cela pour que les nouvelles affaires de pédophilie soit classées verticalement plus vite !

    C'est une machination politique brillante et particulièrement perverse, c'est un avertissement pour les juges du siège et un chèque en blanc pour ceux du parquet.

    Les pédophiles sont des salopards mais aussi des malins mais le peuple n'est pas dupe sur le fait que l'exécutif dirige l'ensemble de la machine judiciaire car si ce n'était pas le cas le juge alphen serait devenu garde des sceaux étant donné son intégrité morale exceptionnelle et son courage.

    PEDOPHILIE CANNOISE - FRANCE - SCANDALE POLITIQUE

    “ Madame, si vous voulez retrouver vos enfants, analysez l'attitude de ces pervers, ils sont protégés par certains mafieux alors il faut juste préciser à ces voyous par voie de presse que vous mettrez une loupe sur l'ensemble de leurs activités criminelles si vous ne récupérez pas vos enfants en excellente santé mentale et physique et qu'ils finiront par attirer la presse ou la police ou les juges sur leurs activités illicites si ils ne vous aident pas dans vos démarches.

    Ils finiront par éliminer les pervers et vous rendre vos enfants pour que cette situation et cette pression cesse sur l'ensemble de leurs activités criminelles pour de simples raisons vénales car ces connards vivent uniquement pour l'argent.

    Courage.

    Si vous avez peur vous mourez 10 fois par jour sinon une seule fois.

    Patrice VERDI ”

    PEDOPHILIE CANNOISE - FRANCE - SCANDALE POLITIQUE

    “ Il faut certainement donner plus de pouvoir politique aux femmes et contrôler les liens entre l'exécutif et le judiciaire pour que le système ne devienne pas sourd, muet, aveugle face à nos plaintes pour le plus grand plaisir de certains hommes politique fortunés et fiers de l'être dans une société ou l'individu disparaît au profit du grand capital qui détruit tout avenir pour nos enfants et n'assure en rien leur protection contre des pervers organisés ou aidés par le laxisme du système. ”

    PEDOPHILIE CANNOISE - FRANCE - SCANDALE POLITIQUE

    “ Je ne suis pas étonné que des personnes ne soient pas scandalisées des crimes et des délits commis contre des enfants car ils préfèrent faire l'autruche car ils sont lâches ou ils ont peur de la perversité publique en la matière qui protège les hauts fonctionnaires véreux, tout secteur confondu car parler de mafia et d'Etat concernant certains sujets devient vite un pléonasme évident.

    VERDI Patrice ”

    PEDOPHILIE CANNOISE - FRANCE - SCANDALE POLITIQUE

    “ C'est un message pour le roi de la PUB, il se reconnaîtra.

    VERDI Patrice ”

    PEDOPHILIE CANNOISE - FRANCE - SCANDALE POLITIQUE

    Message reçu le 05/06/ à 16h54 :


    MONSIEUR VERDI PATRICE

    JE VIS LE MEME ENFER QUE VOUS POUR AVOIR VOULU PROTEGER ET DEFENDRE MES DEUX ENFANTS CONTRE LA PEDO-CRIMINALITE' ORGANISEE!! JE SUIS LA MAMAN DE FIONA ET MILLA ANTONINI.
    2
    nonprevu06
    Mardi 16 Juin 2009 à 23:04
    MESSAGES SUPPRIMES PAR LEPOST.FR


    PEDOPHILIE CANNOISE - FRANCE - SCANDALE POLITIQUE
    “ Courage, pour détruire une organisation criminelle, il faut la connaître, chez les flics c'est l'omerta des fonctionnaires qui cherchent à plaire à nos amis politiques d'auxerre par ex, donc il faut dénoncer et utiliser les médias pour que ces pervers soient éliminés de notre société car pour ces prédateurs d'enfants, il faut des méthodes musclées ou radicales quel que soit le rang social de ces criminels.
    Vivre, c'est savoir pourquoi l'on vit !
    Je suis un flic fini pour eux mais eux n'ont jamais débuté et ne débuteront jamais rien en matière de justice sociale et de défense des droits de l'homme et de l'enfance. ”

    PEDOPHILIE CANNOISE - FRANCE - SCANDALE POLITIQUE
    “ Pourquoi outreau ?

    C'est le glaçon qui cache l'iceberg, car nous avions :

    un juge médiocre, une affaire complexe, un parquet qui laisse faire contre certains notables et tout cela pour que les nouvelles affaires de pédophilie soit classées verticalement plus vite !

    C'est une machination politique brillante et particulièrement perverse, c'est un avertissement pour les juges du siège et un chèque en blanc pour ceux du parquet.

    Les pédophiles sont des salopards mais aussi des malins mais le peuple n'est pas dupe sur le fait que l'exécutif dirige l'ensemble de la machine judiciaire car si ce n'était pas le cas le juge alphen serait devenu garde des sceaux étant donné son intégrité morale exceptionnelle et son courage.

    PEDOPHILIE CANNOISE - FRANCE - SCANDALE POLITIQUE

    “ Madame, si vous voulez retrouver vos enfants, analysez l'attitude de ces pervers, ils sont protégés par certains mafieux alors il faut juste préciser à ces voyous par voie de presse que vous mettrez une loupe sur l'ensemble de leurs activités criminelles si vous ne récupérez pas vos enfants en excellente santé mentale et physique et qu'ils finiront par attirer la presse ou la police ou les juges sur leurs activités illicites si ils ne vous aident pas dans vos démarches.

    Ils finiront par éliminer les pervers et vous rendre vos enfants pour que cette situation et cette pression cesse sur l'ensemble de leurs activités criminelles pour de simples raisons vénales car ces connards vivent uniquement pour l'argent.

    Courage.

    Si vous avez peur vous mourez 10 fois par jour sinon une seule fois.

    Patrice VERDI ”

    PEDOPHILIE CANNOISE - FRANCE - SCANDALE POLITIQUE

    “ Il faut certainement donner plus de pouvoir politique aux femmes et contrôler les liens entre l'exécutif et le judiciaire pour que le système ne devienne pas sourd, muet, aveugle face à nos plaintes pour le plus grand plaisir de certains hommes politique fortunés et fiers de l'être dans une société ou l'individu disparaît au profit du grand capital qui détruit tout avenir pour nos enfants et n'assure en rien leur protection contre des pervers organisés ou aidés par le laxisme du système. ”

    PEDOPHILIE CANNOISE - FRANCE - SCANDALE POLITIQUE

    “ Je ne suis pas étonné que des personnes ne soient pas scandalisées des crimes et des délits commis contre des enfants car ils préfèrent faire l'autruche car ils sont lâches ou ils ont peur de la perversité publique en la matière qui protège les hauts fonctionnaires véreux, tout secteur confondu car parler de mafia et d'Etat concernant certains sujets devient vite un pléonasme évident.

    VERDI Patrice ”

    PEDOPHILIE CANNOISE - FRANCE - SCANDALE POLITIQUE

    “ C'est un message pour le roi de la PUB, il se reconnaîtra.

    VERDI Patrice ”

    PEDOPHILIE CANNOISE - FRANCE - SCANDALE POLITIQUE

    Message reçu le 05/06/ à 16h54 :


    MONSIEUR VERDI PATRICE

    JE VIS LE MEME ENFER QUE VOUS POUR AVOIR VOULU PROTEGER ET DEFENDRE MES DEUX ENFANTS CONTRE LA PEDO-CRIMINALITE' ORGANISEE!! JE SUIS LA MAMAN DE FIONA ET MILLA ANTONINI.
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      Commentaire :


    3
    nonprevu06
    Jeudi 9 Juillet 2009 à 11:25
    BPCA UNE BANQUE TOTALEMENT IMPOPULAIRE ET LIEE A LA VILLE DE CANNES

    Pression Financi?

    Cl?e Compte BPCA sans aucun motif financier !

    Harc?ment social Grave et Injustifiable mais Politiquement Justifi?8230;

    Objet : Fin de non-recevoir de mes demandes envoy? par Fax , Emails, Courriers, T?phones, etc…

    Monsieur VERDI Patrice CANNES LA BOCCA le 04/07/09
    ?Madame MADALA
    BPCA
    CANNES CARNOT
    10 BD CARNOT
    06400 CANNES
    Courriel : jocelynemadala@cotedazur.banquepopulaire.fr
    Ligne Directe : 04 97 06 57 34
    Fax Direct : 04 97 06 57 31
    T?: +33 (0)8 20 39 00 26
    Fax : +33 (0)8 20 82 15 26

    Madame MADALA,

    BPCA CANNES CARNOT

    Madame,

    Copie Courriel envoy?e 16/06/09 ?9h39

    J’ai effectu?n virement sur compte tiers de 90 euros depuis le 07/06/09.

    Puisque ce virement ne s’effectue pas, je vous demande par le pr?nt courriel de l’annuler.

    J’esp? que ce type de probl? ne se reproduira pas dans l’avenir car je serai amener ?enser que vous tentez d’exercer volontairement des pressions personnelles et non professionnelles sur mon compte en gagnant syst?tiquement du temps sur l’ensemble de mes op?tions.

    VERDI Patrice

    Copie Courriel envoy?e 17/06/09 ?0h55 :

    Je pense que vous ne tenez pas compte de mes courriels, donc vous vous cachez derri? votre hi?rchie ou un anonymat professionnel !

    Plus pour longtemps.

    Il a donc fallu cr? des blogs qui lient officiellement la Mairie et la BPCA car vous entretenez une ambiance conflictuelle permanente depuis des ann? sans aucun respect de ma situation sociale, de ma Famille et de mes deux enfants !

    Un lien existe-t-il entre la gestion particuli? de mes comptes par votre personne et la Mairie dont vous ?ez une ancienne employ??

    J’ai pr?r?out cela et je vous enverrai les diff?ntes URL des blogs r?renc?sur tous les moteurs de recherche tr?bient?i vous continuez ?xercer des pressions ?nomiques minables sur mon compte et ?eler mes op?tions bancaires.

    Je viens de recevoir un courrier en date du 18/06/09 qui pr?se le rejet de mon virement sur compte tiers.

    Ce courrier fait suite ?a demande d’explication qui a concern?e transfert qui aurait du s’effectuer normalement en quelques jours, ce que n’a pas ? fait par votre volont?u votre incomp?nce chronique, pourtant votre si? social me demande de r?er le probl? avec vous directement ; mais comment faire puisque vous refusez toute communication ?ite ou orale car vous ne pouvez pas expliquer votre attitude particuli? que votre hi?rchie vous incombe d’ailleurs totalement par cette simple correspondance qui pr?se finalement les responsabilit?de chacun si un probl? survient.

    Vous avez rejet?olontairement ce transfert alors que l’argent ?it disponible sur le compte ce qui ne m’?nne en rien concernant vos m?odes particuli?s qui consistent ?ioler syst?tiquement le code mon?ire et financier que vous semblez ignorer totalement dans mon cas pour des raisons partisanes ou politiques.

    Je vous demande donc par le pr?nt courrier d’annuler d?nitivement ce virement puisque votre action de rejet a entra? par la suite le retrait de cette somme par mes soins sur le compte que vous aviez recr?t?uparavant.

    L’annulation d?nitive de ce virement rejet?ar cyberplus est ?nnamment impossible m? si le logiciel le pr?it.

    La cl?e de mes comptes d’autorit?st d? un abus caract?s?t discriminatoire pour l’ADAB mais aussi pour beaucoup d’autres associations de d?nse des consommateurs.

    Ne continuez donc pas ?r? des probl?s fictifs sur mes comptes que vous cl?erez le 18/07/09 car je d?ncerai l’ensemble de ces faits sans exception par tous les moyens possibles de communication.

    Dans l’attente d’un courrier qui me confirmera l’ex?tion de la pr?nte demande, veuillez agr?, Madame MADALA, l’expression de mes sentiments distingu?

    VERDI Patrice

    PS : Actuellement, la BPCA a d?d?e supprimer un client de fa? totalement arbitraire, si vous continuez ?e harceler, je vous en ferai perdre des milliers au profit de vos concurrents pour lesquelles vous ne repr?ntez rien de cr?ble car vos investissements ont prouv?ue vous ?ez des leaders en mati? d’incomp?nce. (NATIXIS, ECT….)


    C’EST CONFORTABLE DE S’APPELER LA BANQUE POPULAIRE MAIS C’EST UNE
    TOTALE HERESIE ET UNE HYPOCRISIE GRAVE DE VOS SERVICES
    QUI SONT LIES DEFINITIVEMENT A LA VILLE DE CANNES
    POUR LA RAFLE
    DES COMPTES DU CREDIT MUNICIPAL.

    EMAIL : SERMENTPV@FREE.FR
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    nonprevu06
    Jeudi 9 Juillet 2009 à 11:26
    Monsieur VERDI Patrice
    A
    Monsieur le Pr?dent
    Mesdames et Messieurs les Conseillers
    Composant la 4? Chambre
    Du Tribunal Administratif de Nice


    Instance : n°0605808-4


    MEMOIRE SUPPLETIF

    POUR

    Monsieur VERDI Patrice
    Chez Mr Marcel VERDI
    34 rue Ren?unan
    06150 CANNES LA BOCCA

    CONTRE

    La ville de CANNES, repr?nt?par son D?t?aire, Monsieur Bernard BROCHAND, agissant en vertu de la d?b?tion du Conseil Municipal du 5 avril 2001, modifi?par celle du 10 Janvier 2002, prise dans le cadre de l’article L.2122-22 du Code G?ral des Collectivit?Territoriales.

    Les arguments de ma requ? en annulation bas?en partie sur le fond mais aussi sur la forme d?ntrent l'existence d'une violation de mes droits ?a d?nse en vertu de l’article 4 du d?et du JO N°84-961 du 25 octobre 1984 qui pr?se la dur?n?ssaire entre la convocation initiale du fonctionnaire incrimin?ans la proc?re disciplinaire et la mise en place de cette commission. Ce d?i est fix? 15 jours au minimum or l’arr? ?s par Monsieur le D?t?aire de CANNES le 12 Octobre 2006 pr?se que la lettre d’information en LR + AR envoy?ar Monsieur Claude MORIN, adjoint au D?t?aire de CANNES et d?gu?u personnel date du 14 Septembre 2006 et la r?ion ainsi que la d?sion de la Commission Administrative Paritaire date du 26 Septembre 2006, il y a donc une violation manifeste du d?i minimum de quinze jours des droits de la d?nse en vertu du d?et pr?t?
    PAR CES MOTIFS

    Et tous autres ?roduire, d?ire ou suppl?, au besoin m? d’office, l’exposant conclut ?a justification de la requ? de Monsieur VERDI Patrice pour vice de forme.


    Fait ?ANNES le 25/01/08

    VERDI P
    5
    nonprevu06
    Jeudi 9 Juillet 2009 à 11:26
    Monsieur VERDI Patrice Cannes le 19/03/09
    ?Monsieur le Pr?dent Patrice BLANC
    Tribunal Administratif de NICE
    33 Bd Franck Pilatte B.P. 4179
    06359 NICE CEDEX 4
    Monsieur le Pr?dent,
    J’ai l’honneur de vous ?ire afin de vous confirmer la r?ption de votre lettre recommand?en date du 11/03/09 qui soul? d?rmais un Moyen d’Ordre Publique et tend ?endre irrecevable tous les moyens de d?nse enregistr?plus de deux mois apr?la saisine du Tribunal afin d’emp?er toute sanction actuelle ou ult?eure des d?ts commis par la commune de CANNES. Cette position judiciaire excessive et bien trop partiale prise d?rmais par votre personne engage une fois de plus la l?timit?otale du Tribunal Administratif de NICE dans cette affaire car son pr?dent, Monsieur Francis MALLOL, a d? pr?s?a propension particuli? de ce dossier par le biais d’une d?sion extr?ment singuli? concernant mon r?r?rovision dont il s’est charg?ersonnellement.
    Les Moyens d’Ordre Public relevant de la l?lit?nterne sont li?principalement ?a m?nnaissance du champ d’application de la loi de certaines pi?s du dossier et non ?’int?alit?e ces derni?s ?ne date ant?eure ?’enregistrement de celles qui permettent de mettre en ?dence un vice de proc?re d?rmin?ar un d?et du Journal Officiel du 27/10/84 ou une d?sion du Tribunal Administratif de Nice prise en session le 15/05/02.
    Cette d?sion nouvelle qui n’a jamais ? appliqu?dans mon dossier mais aurait pu et m? aurait donc du ?e soulev?logiquement par les juges des r?r?saisis dans cette affaire concernant :
    - L’ordonnance du 17/01/08 pour le r?r?uspension du dossier N°0706890-94 ?se par le juge des r?r?B. PARISOT qui n’a soulev?ucun MOP,
    - L’ordonnance du 05/02/09 pour le r?r?rovision du dossier N°0806724-97 ?se par le juge des r?r?et Pr?dent du Tribunal Administratif de NICE, Monsieur Francis MALLOL qui n’a soulev?ucun MOP,
    d?ntrent que le tribunal administratif de NICE a utilis?es m?ires en d?nse jusqu’au 05/02/09 et tient ?es rendre d?rmais irrecevables afin de m’emp?er de faire appel et de reconna?e la responsabilit?e la commune dans cette affaire car il existe de toute fa? une violation manifeste de mes droits ?a d?nse d?nc?dans mes m?ires en vertu de l’article 4 du d?et du JO N°84-961 du 25 octobre 1984 qui casse l’arr? de radiation du 10/10/06 pour vice de forme car le d?i minimum entre la tenue de la CAP et l’?ssion de l’arr? de radiation n’a pas ? respect?ais aussi une volont?’exclusion sociale car la d?sion du 15/05/02 du TA de NICE n’a jamais ? appliqu?par le Maire de CANNES qui m’a exclu volontairement de toute vie professionnelle depuis cette date.
    Je me r?rve donc le droit de remettre en cause la l?timit?e votre action aupr?de vos autorit?nationales de tutelle afin de faire cesser ces injustices flagrantes qui sont le reflet d’une prise de position sans ?ivoque qui devrait assurer une impunit?l?? au Maire de CANNES, Monsieur Bernard BROCHAND, et vous prie de croire Monsieur le Pr?dent BLANC en l’expression de ma d?ption et non pas de ma surprise dans cette affaire.

    VERDI Patrice
    6
    nonprevu06
    Jeudi 9 Juillet 2009 à 11:27
    Monsieur VERDI Patrice
    A
    Monsieur le Pr?dent
    Mesdames et Messieurs les Conseillers
    Composant la 4? Chambre
    Du Tribunal Administratif de Nice


    Instance : n°0605808-4


    MEMOIRE

    POUR

    Monsieur VERDI Patrice
    Chez Mr Marcel VERDI
    34 rue Ren?unan
    06150 CANNES LA BOCCA

    CONTRE

    La ville de CANNES, repr?nt?par son D?t?aire, Monsieur Bernard BROCHAND, agissant en vertu de la d?b?tion du Conseil Municipal du 5 avril 2001, modifi?par celle du 10 Janvier 2002, prise dans le cadre de l’article L.2122-22 du Code G?ral des Collectivit?Territoriales.
    Le m?ire en d?nse en date du 13 Juin 2007 ?s par la commune de CANNES pr?se que Monsieur VERDI Patrice, Brigadier Chef ?a Police Municipale a ? suspendu de ses fonctions depuis le 1er d?mbre 2001, suite ?lusieurs d?ts et au retrait de son agr?nt pr?ctoral en qualit?e policier municipal.
    Dans la premi? affaire, c'est-?ire l’affaire qui oppose Monsieur VERDI Patrice ?n coll?e de travail Monsieur DI-SEGNA thierry en service comme lui-m?, le conseil de discipline r?ie le 15 mai 2002 en vue de se prononcer sur la r?cation de Monsieur VERDI Patrice a d?d?e suspendre la proc?re jusqu’?e que la proc?re p?le soit arriv??on terme.
    Or, le m?ire produit par la ville de CANNES pr?se que c’est chose faite ce qui est enti?ment faux car les nombreux disfonctionnements judiciaires flagrants et constat?ont conduit l?timement Monsieur D?rt, Procureur de la r?blique de GRASSE, a demand?n nouveau jugement de cette affaire devant la cour d’appel d’aix en provence en prenant en compte l’opposition de Monsieur VERDI Patrice ?’arr?de la cour d’appel du 15 d?mbre 2003.
    La signification par huissier de justice de ce nouvel arr?de la cour d’appel d’Aix en Provence en date du 18 juin 2007, qui annule le pr?dent arr?de la cour d’appel d’Aix en Provence en date du 15 d?mbre 2003, permet donc ?’heure actuelle ?onsieur VERDI Patrice de poursuivre l’action p?le jusqu’?a cour europ?ne de justice s’il le souhaite comme le pr?it son conseil qui consid? qu’il y a eu une atteinte d?b?e et flagrante de ses droits ?a d?nse par ce que l’on peut qualifier de d?t de justice commis par l’ancien procureur de la r?blique Monsieur DOUMAS qui a d’ailleurs retenu la plainte de Monsieur DI-SEGNA pour de simples insultes prof?es sous l’effet de la col? contre un coll?e de travail durant son service alors qu’il a paradoxalement class?ans suite la plainte de Monsieur VERDI Patrice contre Monsieur le Chef de Police Armand GROUX qui avait plac?on arme de service sur la tempe de Monsieur VERDI Patrice en disant qu’il allait lui faire sauter la t? et cela devant un t?in asserment? Le code de Proc?re P?le a donc permis ?onsieur DOUMAS, Procureur de la R?blique ?RASSE, de classer sans suite la plainte de Monsieur VERDI Patrice alors qu’il savait que Monsieur GROUX avait ?lement braqu?’autres coll?es du service de nuit et qu’un rapport de Police avait ? ?s par le Chef de Poste de la Police Municipale de CANNES contre ce fonctionnaire conduit dans les locaux du commissariat central le jour m?.
    Monsieur Armand GROUX n’a donc jamais ? inqui? pour cette tentative d’homicide volontaire contre Monsieur VERDI Patrice.
    La proc?re p?le est donc bien loin d’?e arriv??on terme en ce qui concerne cette premi? affaire.
    La commission administrative paritaire doit donc attendre le terme de cette proc?re p?le pour se prononcer sur la radiation des cadres de Monsieur VERDI Patrice.

    En ce qui concerne la seconde affaire c'est-?ire l’affaire RACCA, il y a lieu de pr?ser certains faits qui s’ins?ront parfaitement dans la continuit?e ce m?ire.

    Monsieur VERDI Patrice et ce n’est malheureusement pas pr?s?ans le m?ire de d?nse, b?ficie de la loi d’amnistie N°2002-1062 promulgu?le 06/08/02 qui supprime toutes peines d’emprisonnement inf?eures ou ?les ?ix mois avec application de sursis simple.

    Il y a lieu de pr?ser ?lement certains faits troublants apparus par l’?de approfondie du dossier d’instruction de Monsieur VERDI Patrice :

    Monsieur VERDI Patrice a ? oblig?e se soumettre ?ne injonction th?peutique suite ?a mise en d?ntion provisoire ?a centrale de DRAGUIGNAN.

    Par ailleurs, Monsieur VERDI Patrice poss? donc un certificat sur son excellente sant?entale ?s par le Docteur ROURE en date du 17 Mai 2002.

    Il est ?lement ?ignaler que Monsieur VERDI Patrice n’a jamais pu obtenir la moindre confrontation entre les parties concern?, ce qui repr?nte un obstacle majeur ?’instruction du dossier.

    Monsieur VERDI Patrice a signal? Monsieur le Procureur G?ral lors de son jugement devant la cour d’appel d’aix en provence que le t?in pr?nt?omme le fils de Monsieur RACCA et qu’il n’avait jamais rencontr?uparavant faisait ?t du d?rt de l’accus?onsieur VERDI Patrice le mercredi matin, ce qui est compl?ment faux car la requ? de Monsieur RACCA pour une enqu? sur sa propre fille a ? demand??onsieur VERDI Patrice le vendredi soir afin qu’il parte pour PARIS le lendemain matin sans d’ailleurs lui laisser un d?i de r?exion n?ssaire qui aurait certainement ?t?ous ces probl?s.


    Le Procureur G?ral a r?rqu? Monsieur VERDI Patrice durant son proc?:

    « Lundi, mardi, vendredi, peu importe le jour »

    Signalons ?lement que l’int?alit?es discussions t?phoniques entre Monsieur VERDI Patrice et Monsieur RACCA ont ? enregistr? par ce dernier jusqu’?a mise en examen de
    Monsieur VERDI Patrice.

    Il est donc ?dent qu’un pourvoi devant la cour europ?ne de justice est ?nvisager ; il y a donc un lien ?dent entre l’ensemble de ces faits qui d?ntrent une fois de plus une machination politico-judiciaire dont la causalit?era certainement d?il?un jour prochain par des m?as courageux ou par le conseil sup?eur de la magistrature.

    Donc en ce qui concerne cette seconde affaire, il est ?dent que la proc?re n’est pas termin? au contraire, elle d?te dans un souci de d?nse des int?ts de Monsieur VERDI Patrice.

    Signalons ?lement, que la d?sion prise par le tribunal administratif en date du 15 mai 2002 qui demande la r?t?ation de Monsieur VERDI Patrice au sein des services municipaux en vertu de la pr?mption d’innocence, n’a jamais ? appliqu?par Monsieur le Maire de CANNES, pr?pitant de ce fait Monsieur VERDI Patrice et sa famille dans une situation ?nomique intol?ble de survie avec un salaire moyen mensuel de 1000 euros depuis 2001.

    Je joins une copie des lettres en date du 03/11/06 envoy? ?onsieur le Procureur de la R?blique ainsi qu’?onsieur le Pr?t qui ont pr?d?a demande de cr?ion d’une nouvelle carte ?a mutuelle nationale territoriale le 10/11/06 car les droits de Monsieur VERDI Patrice, de sa femme et de ses deux enfants ?s de huit et trois ans avaient ? annul?sans aucune explication ni pr?is.


    PAR CES MOTIFS

    Et tous autres ?roduire, d?ire ou suppl?, au besoin m? d’office, l’exposant conclut ?a justification de la requ? de Monsieur VERDI Patrice.


    Fait ?ANNES le 27/06/07



    VERDI P
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