•           Monsieur

    VERDI  Patrice                                                                                                        Cannes le 10/08/09

    à

    Monsieur le Procureur du Tribunal de Grande Instance de GRASSE

    37 av Pierre Sémard  BP71029  06130 GRASSE  Tel :04 92 60 72 00 Fax : 04 92 60 72 35

    Monsieur le Procureur,

    J’ai l’honneur de vous écrire afin de faire appel à votre pouvoir administratif et judiciaire car je suis dans une situation sociale catastrophique.

    J’ai l’impression que tous les principes de morale, de droit et d’équité ont disparu à CANNES et peut-être même dans toute la FRANCE.

    Je viens de recevoir un courrier de la CPAM en date du 30/07/09 qui me précise la suspension totale de mes indemnités maladie à compter du 13/07/09 pour non présentation à une convocation de contrôle de cette même date. Je vous précise que le 13/07/09, je me suis présenté au CH de GRASSE pour un malaise cardiaque, les médecins ont d’ailleurs voulu m’hospitaliser mais j’ai refusé de rester car j’ai mon dossier pour la cour d’appel administrative à terminer. J’ai donc transmis au Docteur MONCADA une lettre qui justifiait mon absence accompagnée du bulletin d’hospitalisation du CH de GRASSE mais aussi le fait établi que je ne dépends pas de la CNAMTS.

    J’ai appris que le Docteur MONCADA avait sommé illégalement mon médecin référant le Docteur Robineau de lui adresser dans un délai maximum de quinze jours à compter du 06/07/09, le document « protocole de soins » relatif à l’article L324-1 du CSS qui concerne l’interruption de travail supérieure à six mois, ce qui n’a jamais été le cas, d’ailleurs le Docteur MONCADA avait déjà envoyé l’un de ces protocoles de soins pré-remplis en ALD afin de m’éclairer sur la volonté médicale de la CPAM ou d’autres personnes affiliées, d’empêcher toute réintégration sociale prouvée d’ailleurs par le fait inadmissible que la mention titulaire invalidité soit mentionnée sur mes fiches de paie sans qu’aucune commission administrative de réforme n’ait été saisie à ma connaissance et que ce fait délictuel commis intentionnellement par la ville de CANNES associé également à la disparition inattendue et inexpliquée de mon septième échelon a entraîné la suspension de  mes cotisations à la CNRACL  depuis plus d’un an alors que j’atteignais effectivement les quinze années d’ancienneté pour une éventuelle retraite du service. 

    La causalité de ces protocoles de soins préétablis et de cette décision injustifiée de la CPAM est à mon sens la volonté unanime de la CNAMTS et de la ville de CANNES de justifier la mention « titulaire invalidité » ou de demander une expertise psychiatrique afin de me discréditer socialement en usant de pressions sociales et financières totalement injustes et parfaitement illégales qui tendent à me dissuader dans ma croisade presque utopique contre la pédocriminalité qui n’existe pas à CANNES.

    Je souhaite, Monsieur le Procureur, pouvoir compter sur votre aide dans cette nouvelle affaire qui me conforte dans l’idée que ce marché humain plus lucratif que la drogue soit couvert et remet en cause profondément le rôle confus de la Police et de la Justice pour régler ce type de problème Européen à l’image des réseaux ZANDVOORT et KRIPTEN dont les témoins, civils, policiers ou magistrats ont été assassinés, suicidés, dessaisis, incarcérés, déclarés fous ou inaptes par leurs administrations respectives de tutelle.

    Je vous prie de croire Monsieur le Procureur, en l’expression de mes salutations distinguées et en l’espoir que je ne resterai pas sans ressource afin que l’administration puisse un jour me reprocher la non application de l’article 213 du code civil.

    VERDI P

    PJ : Copie de la lettre en date du 13/07/09 accompagnée du bulletin du CH de GRASSE adressée au Docteur MONCADA et remis en main propre par mon épouse à Madame GIRAUD, secrétaire du docteur précité.

    Copie de la Notification de refus administratif de la CPAM en date du 03/06/08.

    Copie de la Notification de la suspension de mes indemnités en date du 30/07/09 émise par Madame MOLINIER de la CPAM.

    Copie Fiche de Paie du 07/06 et 07/09 me rétrogradant du septième au sixième échelon avec mention : Titulaire Invalidité.

    Copie Arrêté Portant Avancement au septième Echelon à l’ancienneté maximum reçu le 22/05/03 par la SP de GRASSE.


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  • Monsieur VERDI   Patrice                                                               Cannes le 13/07/09

    au                                                                                                                                                              

    Docteur Concetto MONCADA

    24 Bd astegiano 2 Eme Etage – B205

    Service Médical 06150 CANNES LA BOCCA

    Docteur MONCADA,

    J’ai l’honneur de vous écrire afin de vous préciser par le présent courrier que je me suis présenté ce jour en début de matinée au service des urgences de l’hôpital de GRASSE pour un malaise cardiaque, de ce fait je n’ai pas pu me présenter à votre convocation.

    J’ai appris que vous aviez sommé mon médecin référant le Docteur Robineau de vous adresser dans un délai maximum de quinze jours à compter du 06/07/09, le document « protocole de soins » relatif à l’article L324-1 du CSS qui concerne l’interruption de travail supérieure à six mois.

    Je tiens à vous préciser que votre demande n’est pas justifiée car je suis en arrêt maladie depuis moins de six mois et qu’en vertu de l’article précité, ce document qui comporte uniquement le diagnostic suivant : Troubles axio-dépressifs n’entre pas encore dans le protocole de soins qui semble tant vous préoccuper ainsi que le service du contrôle médical de la région PACA.

    Je vous signale pour information que le certificat du 17/05/02 du Professeur ROURE atteste non seulement de mon excellent état de santé mentale mais démontre aussi clairement dans son alinéa second que l’administration s’est fourvoyée volontairement par l’injonction thérapeutique qui a tenté en vain de me faire passer pour fou pour des raisons politiques afin que le système soit préservé définitivement d’un flic qui dénonce une affaire de pédophilie.

    D’autre part, usant d’un protocole semblable dans son intention, le docteur ORLER, psychiatre au CH de CANNES, qui est donc lié indubitablement de près ou de loin à son Député Maire, Monsieur Bernard BROCHAND, a essayé également en vain et bien maladroitement d’obtenir une réponse épidermique et emportée de ma part en me refusant catégoriquement et sans logique apparente en théorie, d’émettre un arrêt de travail pour des troubles anxio-dépressifs alors qu’il me l’avait accordé deux mois auparavant, j’ai donc avisé le CDOM des AM et de tous les départements Français concernant son attitude incohérente et sans aucune logique pour des esprits non avertis qui omettent par lâcheté sociale d’admettre le fait incontestable que la pédophilie touche bien évidemment toutes les CSP de notre pays mais jamais des Politiques ou des Fonctionnaires de Premier Plan car personne ne peut être juge et partie à la fois.

    J’espère donc docteur MONCADA que vous n’espérez pas vous abaisser à perpétuer de telles pratiques de déstabilisation, de manipulation et de pression sociale et économique pitoyable sur ma famille car sans vouloir me formaliser, je souhaite que le service médical ; de la CPAM qui m’a notifié un refus administratif en date du 03/06/08 car je ne dépends pas du régime général mais celui des fonctionnaires donc en aucun cas de la CNAMTS mais aussi et uniquement de la commission administrative de réforme d’un point de vue professionnel ; et vous-même arrêtiez de me harceler pour me voir chaque semaine car si vous avez décidé arbitrairement de demander une expertise psychiatrique orientée par un système coopté de toute évidence et en majorité par les parquets qui négligent mes droits depuis des années ou de me déclarer en ALD en vous substituant de façon détournée à la médecine du travail afin de permettre au TA de NICE, d’empêcher ma réintégration sociale devant des éléments de justice accablants pour la ville de CANNES, en se dédouanant finalement par votre simple intermédiaire de cette affaire nationale grave qui est diffusée sur le net et remet en cause profondément l’institution judiciaire dans son intégralité, c’est votre responsabilité de façon nominative et celle de vos services locaux ou nationaux qui sera engagée pleinement dans cette cabale médicale qui tend à couvrir des Politiques.

    Je me réserve donc le droit d’ajouter cet article sur le net afin que les responsabilités de chacun soient précisées clairement et appréciées publiquement par les internautes mais aussi par les deux ministères de tutelle dont vous dépendez.

    Je vous prie de croire Docteur MONCADA en l’expression de mes salutations distinguées.

    VERDI Patrice.            

    PJ  : Copie du certificat de passage et d’hospitalisation en date du 13/07/09 du CH de GRASSE.   

    PS : PEDOPHILIE A CANNES sur GOOGLE ou tout autre moteur de recherche.


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  • Réseaux<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> pédophiles : 90.000 enfants concernés et personne ne s’en souvient !

     

    C’est l’histoire du plus grand<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> <span-converted-space></span-converted-space><span-converted-space></span-converted-space><span-converted-space></span-converted-space><span-converted-space></span-converted-space>réseau<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> de<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> <span-converted-space></span-converted-space><span-converted-space></span-converted-space><span-converted-space></span-converted-space><span-converted-space></span-converted-space>pédophilie<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> jamais démantelé (90.081 enfants concernés selon Interpol), et ce essentiellement à l’initiative d’une petite association belge sans but lucratif qui étudie les problèmes de maltraitance et de disparitions d’enfants. L’asbl Morkhoven est active depuis la fin des années 80, elle tire son nom du village où habite son président, Monsieur Marcel Vervloesem, elle fût mise sous les feux de la rampe en juillet 1998 lorsqu’elle divulgua aux autorités des supports informatiques et des cassettes vidéo possédant un contenu à caractère pédophile.

     

    Ces documents à caractère pédophile proviennent d’un appartement de Zandvoort, sur la côte hollandaise, à partir duquel les images étaient vendues sur internet.[1] Les personnes impliquées sont de diverses nationalités, le<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> <span-converted-space></span-converted-space><span-converted-space></span-converted-space><span-converted-space></span-converted-space><span-converted-space></span-converted-space>réseau<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> pédophile était actif dans plusieurs pays rendant le dossier relativement complexe.

    La RTBF, télévision publique belge, diffuse un long reportage retraçant cette affaire le 09/09/1998 dans l’émission « Faits Divers ». Il est actuellement<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> disponible sur dailymotion. Cet article est principalement basé sur les informations contenues dans ce reportage ainsi que sur la<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> plainte déposée le 04/03/2001par l’asbl Morkhoven au Procureur du Roi de Neufchâteau (Belgique).

    Voici les éléments importants de cette affaire présentés de manière chronologique.

    Fin 1991 - début 1992 :<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> Le film amateur « Madeira » est projeté à plusieurs reprises, au café « Monty » situé à Temse (Belgique), à titre de « catalogue de voyage » de l’île de Madère et des « facilités » qu’elle propose. Son contenu est à caractère pédophile. Ce café ainsi qu’un autre café de Temse (le « Gayati ») étaient notamment fréquentés par des pédophiles dont certains organisent des voyages en hollande avec des jeunes garçons marginaux ou issus de familles défavorisées.

    29/01/1992 :<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> L’asbl Morkhoven, suite à des liens avec des enquêtes précédentes, a découvert cette situation inquiétante et envoie au ministre belge de la justice du matériel de pornographie enfantine lié au<span-converted-space></span-converted-space><span-converted-space></span-converted-space><span-converted-space></span-converted-space><span-converted-space></span-converted-space>réseau<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> de Temse.

    Peu de temps plus tard, se sentant découvert, des personnes gravitant autour des 2 cafés portent plusieurs fois plainte pour chantage, diffamation et escroquerie contre Marcel Verloesem, le président de l’asbl.

    18/09/1992 :<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> Suite à une intervention de la police hollandaise dans un appartement de Waalre (non loin d’Eindhoven), le bureau d’Interpol de La Haye adresse à celui de Lisbonne une liste des 4 adultes qui se trouvaient dans l’appartement. Ces adultes ont été surpris en compagnie de 2 jeunes adolescents à demi-drogués et complètement nus. Ils étaient en possession de photos à caractère pédophile (contenant des enfants portugais) et étaient en train de regarder des films pornographiques amateurs.

    Dans l’un d’entre-eux, on pouvait observer sur une plage du Portugal l’un des adultes présent dans l’appartement, à savoir le belge Robbie Van Der Plancken. Etant né le 07/09/74, il était encore forcément mineur au moment du tournage. En sus de Robbie, on retrouvait également sur cette liste Lothar Glandorf (allemand né en 60), Norbert De Ryck (belge né en 49 et domicilié à Temse) ainsi qu’un hollandais domicilié à Waalre. Lors de son audition, Lothar Glandorf admet connaître Norbert De Ryck et avoir déjà rencontré chez lui un anglais, un certain<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> Warwick Spinks.

    92 & 93 :<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> Les autorités « compétentes » sont donc en possession de preuves solides et pourtant l’affaire n’évolue pas.<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> La presse est également muette.

    24/07/93 :<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> Le petit Manuel Schadwald de Berlin disparaît à l’âge de 12 ans.

    Une année plus tard, un groupement d’aide social enregistre un coup de fil anonyme dans lequel l’interlocuteur déclare détenir des preuves attestant que le petit Manuel est mort à Amsterdam et que l’homme qui porte sa mort sur sa conscience se trouve régulièrement à la gare en fin de matinée. Il ne connait pas son nom mais donne une brève description de cet homme qui se promènerait presque toujours avec sa clé de voiture en main.

    19/09/94 :<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> Manuel est vu, selon des observateurs travaillant pour la police de Rotterdam, en compagnie de Lothar Glandorf rentrant tous deux dans un bar.

    Fin 1994 :<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> Suite à une collaboration avec la police allemande, la police de Rotterdam démantèle un<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> <span-converted-space></span-converted-space><span-converted-space></span-converted-space><span-converted-space></span-converted-space><span-converted-space></span-converted-space>réseaude prostitution enfantine et parvient à soustraire une série de jeunes garçons sans pour autant mettre la main sur le petit Manuel. Deux bars sont fermés par la police, l’un des propriétaires n’est autre que Lothar Glandorf et il sera condamné en octobre 1995 à une peine de 6 ans de prison pour traite d’êtres humains, débauche de mineurs de moins de 16 ans et occupation de garçons de - de 18 ans dans un bordel. Plusieurs de leurs clients, dont un français, un anglais et deux américains, furent également condamné à des peines de prison.

    Mai 1995 :<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> Le président d’Interpol et chef de la police suédoise, Bjorn Eriksson, déclare lors d’une conférence qu’il y aurait, en Europe, 30.000 pédophiles liés aux<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> <span-converted-space></span-converted-space><span-converted-space></span-converted-space><span-converted-space></span-converted-space><span-converted-space></span-converted-space>réseaux<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> et à la publication de pornographie enfantine. (source)

    05/10/1996 :<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> Un certain Dirk, l’une des personnes qui avait porté plainte contre Marcel Verloesem, déclare à la TV hollandaise NOVA ainsi que dans la presse écrite que sa plainte avait été déposée afin de monter un dossier de toutes pièces parce que « Verloesem allait trop loin ».

    08/04/1997 :<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> Une émission appelée « Boy Business » est diffusée en Angleterre. Un ancien compagnon deWarwick Spinks,<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> nommé Edward, fait des révélations terribles sur ce milieu qu’il a définitivement quitté. Il parle en effet de snuff movie ! Il affirme avoir vu 5 cassettes vidéo où des enfants sont soumis à des abus sexuels,<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> puis mis à mort devant la caméra.<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> Il implique Warwick dans ces meurtres. Dans l’une des vidéos, il dit notamment avoir vu un enfant mourir étouffé par les parties génitales de son abuseur. La scène se déroule sur un bateau et le décès a provoqué une véritable panique parmi les adultes.

    Juin 1997 :<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> Warwick Spinks qui était emprisonné depuis 1994 pour cause d’enlèvement, de prise de photos indécentes et d’agression sexuelle grave d’un garçon de 14 ans, est libéré de manière anticipée. Scotland Yard et la police hollandaise se disent choqués par cette libération.

    Courant 97 :<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> Marcel Verloesem est condamné dans le cadre de la plainte de Dirk au tribunal de 1ère instance (il fera évidemment appel à ce jugement) . Il fera l’objet d’une détention de 15 jours suite à cette condamnation et c’est celle-ci qui permit d’ouvrir la boîte de pandore. En effet, il put prendre connaissance de son dossier dans lequel figurait également toutes les pièces concernant le<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> <span-converted-space></span-converted-space><span-converted-space></span-converted-space><span-converted-space></span-converted-space><span-converted-space></span-converted-space>réseau<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> de Temse.

    Il s’empressa dès lors de recopier l’intégralité de ce dossier dont notamment le procès verbal du dépôt au greffe du tribunal de Dendermonde le 02/12/1992 :
    -d’agendas dont l’un ayant appartenu à Norbert De Ryck contenant des adresses à Madère.
    -de 27 cassettes vidéo dont l’une intitulée « Madeira » comportant la mention « enfants violés ».
    Dans ce dossier, il figurait également une photo d’un homme comportant la mention « n’a pas été identifié ». Cette photo était extraite de la vidéo « Madeira ».

    Octobre 1997 :<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> L’asbl se met alors en quête de cet homme en plaçant la photo sur une affiche d’avis de recherche. Ils parviennent de cette manière à retrouver l’individu, un certain Robert Vander Naaten (hollandais), qui accepte un rendez-vous avec Marcel Vervloesem. Très inquiet de se savoir découvert, il déclare n’avoir jamais rien fait avec des enfants et il est prêt à charger ses complices dont De Ryck. Pour cela, il remet à Marcel Vervloesem plusieurs cassettes dont « Madeira ».

    Marcel Vervloesem fera alors le voyage au Portugal pour remettre un copie des cassettes vidéo qu’il possède, en présence de caméras, dans les mains de la police de Funchal.

    05/11/1997 :<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> La députée flamande Nelly Maes relaye publiquement des éléments du dossier, lesquels feront plusieurs titres dans la presse belge du lendemain.

    07/11/1997 :<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> Le ministre de la justice belge (de l’époque mais aussi l’actuel),<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> Stefaan De Clerck, déclare dans le journal Het Volk qu’il n’y a pas de<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> <span-converted-space></span-converted-space><span-converted-space></span-converted-space><span-converted-space></span-converted-space><span-converted-space></span-converted-space>réseau<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> de pornographie enfantine à Temse.

    Novembre 1997 :<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> Un reportage de 2 journalistes-correspondants portugais basés à Bruxelles est diffusé sur une chaîne portugaise, il montre des extraits de la cassette « Madeira » et c’est ce qui « permettra » véritablement aux autorités judiciaires des différents pays de réagir.

    Grâce aux informations transmises par l’asbl Morkhoven, le procureur général de Funchal lance alors un mandat d’arrêt international contre tous les acteurs identifiés sur les cassettes. Plusieurs personnes sont arrêtées parmi lesquelles se trouve le hollandais<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> Robert Vander Naaten<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> (celui qui a donné les cassettes àVervloesem) et Norbert De Ryck (le belge de Temse). Ils seront respectivement condamnés à 2 et 8 années de prison. Le jeune belge Robbie Van Der Plancken, qui faisait pourtant partie de la liste d’Interpol en 92, n’est pas inquiété.

    1998 :<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> Marcel Vervloesem rentre en contact avec les parents de Robbie Van Der Plancken. Ces derniers lui permettent de téléphoner à Robbie. Marcel Vervloesem lui pose alors des questions pertinentes sur la disparition de Manuel Schadwald, ce qui inquiéta fortement Robbie.

    En réutilisant donc la même méthode qui lui avait permis de déjouer le « <span-converted-space></span-converted-space><span-converted-space></span-converted-space><span-converted-space></span-converted-space><span-converted-space></span-converted-space>réseau<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> Temse-Madeira » quelques mois plus tôt, Marcel Vervloesem obtiendra plusieurs rendez-vous avec Robbie Van Der Plancken en mai et juin 98. Il parviendra même à convaincre Robbie d’être accompagné, le 4 juin, par les caméras de l’équipe de télévision belge « Faits Divers ». (à partir de la<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> 5ème minute du lien)

    04/06/1998 :<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> La rencontre a lieu en plein centre d’Amsterdam, sur la terrasse d’un café. Les éléments importants de cet entretien sont le fait que Robbie déclare :
    1° avoir rencontré Manuel Schadwald accompagné de Lothar Glandorf en 1993, à savoir l’année de sa disparition. Il est persuadé que Glandorf est la personne décrite dans le coup de fil anonyme de 94 grâce à l’indice de la clé de voiture perpétuellement en main. Robbie prétend que Manuel Schadwald est toujours en vie, contrairement à ce que racontent les récits des milieux pédophiles.
    2° que le business de la prostitution enfantine et des cassettes pédophiles lui permettait de gagner facilement 7.500 à 10.000 € mensuellement.[2]
    3° que la vente d’une cassette vidéo, suivant les moyens financiers du client, pouvait se négocier jusqu’à plus de 25.000 € si celle-ci avait été réalisée<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> à la demande du client.[2]

    A l’issue de l’interview, lorsque les caméras sont rangées, le compagnon de Robbie les rejoint, il se nomme Gerrit Ulrich, il est âgé de 49 ans et est à la tête d’une société informatique nommée « Cube Hardware ». Ils boivent un verre ensemble et à l’insu de Robbie, Ulrich s’adresse à Marcel Vervloesem et lui donne un rendez-vous. Ulrich se sent en effet très mal à l’aise depuis qu’il sait qu’un lien a été fait entre Manuel Schadwald et son compagnon. De plus, il sait que peu de temps avant cette interview, Robbie a été interrogé pendant plusieurs heures par la police d’Amsterdam.

    11/06/1998 :<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> Le rendez-vous se déroule à l’appartement d’Ulrich, situé à Zanvoort sur la côte hollandaise. Via 6 ordinateurs, cet appartement diffuse sur internet [1] des photos à caractère pédophile.

    Ulrich tente de prouver que son compagnon Robbie est plus une victime qu’un acteur et pour se faire, il fournit en main propre un disque JAZ (1 giga) à Marcel Vervloesem, ce matériel constituant une fraction de l’ensemble des photos diffusées sur le net. Parmi ces 8.000 photos,<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> des bébés se font violer par des sexes adultes.

    Les paiements pour accéder aux images se faisaient directement sur le compte bancaire d’Ulrich avec en communication le nom de code du site : « Apollo ».<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> Ce nom était également le nom d’un voilier de luxe, propriété d’un homme d’affaire néerlandais (Léo V.G.), grâce auquel Robbie et Ulrich organisaient des croisières « particulières ».<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> Des photos d’abus sexuels d’enfants perpétrés sur ce bateau ont été prises et figurent dans le matériel fourni à Marcel Vervloesem.

    Durant cette même journée, Marcel Vervloesem prendra contact avec la gendarmerie d’Alost pour les informer de l’existence de ce matériel.

    Quelques jours plus tard, de Lyon, Ulrich reprend contact par téléphone auprès de Marcel Vervloesem pour lui révéler où se trouvait une planque dans laquelle il cachait du contenu à caractère pédophile. Après quoi, il quitte précipitamment l’appartement où il se trouve pour prendre la fuite en Italie.

    19/06/1998 :<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> Marcel Vervloesem apprend le décès d’Ulrich et décide de prendre contact avec la famille du défunt chez laquelle se situe sa planque secrète. La belle-soeur d’Ulrich retrouvera alors<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> sous un plancher du matériel de pornographie enfantine (cassettes vidéo et disquettes) ainsi que des vêtements pour bébés ! Ce matériel fut ensuite saisi par la police de Zandvoort.

    Quelques jours plus tard, Robbie Van Der Plancken est arrêté en Italie et sera condamné d’une peine de 15 ans de prison pour le meurtre de son compagnon Gerrit Ulrich.

    La justice hollandaise demandera plus tard l’extradiction de Robbie Van Der Plancken pour les chefs d’inculpation suivants :
    -pour avoir du 01/08/1997 au 19/06/1998 diffusé des images pornographiques de mineurs via internet montrant l’acte sexuel complet entre adultes et mineurs
    -pour avoir de surcroît produit semblables images et en avoir assuré le suivi.
    -pour avoir enlevé le mineur Manuel Schadwald d’Allemagne vers les Pays-bas le 24/08/1993.<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> (rappel le petit Manuel avait disparu de Berlin le 24/07/1993)
    -pour avoir fait partie d’une organisation criminelle se livrant à de semblables délits.

    17/07/1998 :<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> Christian Dufour, Procureur du Roi de Dendermonde, déclare que l’ « affaire Temse-Madeira » et celle de Zandvoort ne sont pas liées, elles ne comportent aucun lien commun. Or l’asbl Morkhoven n’a toujours pas transmis le matériel à cette date. Il était dès lors impossible que le Procureur Dufour se fasse une opinion.

    20/07/1998 :<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> Devant les caméras de la chaîne publique belge RTBF, Marcel Vervloesem explique que la justice néerlandaise est en train de prétendre qu’il aurait volé les documents à l’insu de Gerrit Ulrich. Ces documents ne pourraient dès lors pas être utilisés dans des procédures judiciaires, puisque volés.

    21/07/1998 :<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> Devant les caméras de la chaîne publique Nederland 2, le matériel est donné aux autorités belges. Vervloesem est également arrêté durant quelques heures à la demande de la justice belge.

    Les journalistes sont étonnés d’apprendre qu’un simple citoyen refusait jusqu’à ce jour de remettre du matériel informatique illégal à la police. Marcel Vervloesem explique qu’il lui fallait des garanties, que c’était une réaction normale au vu de ce qui s’était passé depuis 1992.

    22/07/1998 :<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> Durant une conférence de presse, Marcel Vervloesem informe qu’il a reçu toutes les garanties de la part du juge d’instruction de Turnhout et que cette affaire sera traitée sérieusement.

    28/07/1998 :<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> Le ministre de la justice belge, Stefaan De Clerck, reconnait dans le journal Het Laatste Nieuws l’efficacité du travail de l’asbl Morkhoven et s’adresse à la presse hollandaise en ces termes : « tout le monde savait que ces choses se passent depuis longtemps, mais nous avons fermé les yeux trop longtemps ».

    Mi-Août 1998 :<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> La justice belge traite « sérieusement » le dossier : le parquet de Turnhout se dit en vacances tandis que le parquet de Dendermonde répond aux journalistes qu’il ne peut céder le matériel car les enquêteurs belges en ont besoin.

    18/08/1998 :<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> Marcel Vervloesem explique que le matériel avait été fournis en double, en prévision d’une enquête en Belgique et aux Pays-Bas, et que donc le parquet de Dendermonde aurait très bien pu fournir une copie à celui de Turnhout ou à la police hollandaise.

    24/08/1998 :<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> Devant les caméras de la RTBF, Marcel Vervloesem donne à nouveau les documents mais cette fois à la police hollandaise de Bloemendaal. L’ensemble des données ont été rassemblées sur un cd-rom pour l’occasion.

    09/09/1998 :<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> Le reportage « <span-converted-space></span-converted-space><span-converted-space></span-converted-space><span-converted-space></span-converted-space><span-converted-space></span-converted-space>Réseaux<span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0><span-converted-space0></span-converted-space0> Pédophiles » est diffusé dans l’émission « Faits Divers » de la RTBF.

    C’est à cette date que nous clôturons ce premier article. Des choses « sérieuses » commenceront dès le lendemain à l’encontre de Marcel Verloesem et ce sujet sera analysé plus en détail prochainement.

    Cependant, il y a déjà lieu de se poser une multitude de questions parmi lesquelles :
    -Pourquoi les autorités judiciaires ont-elles perdu 5 années dans cette enquête ?
    -Pourquoi est-ce essentiellement grâce à une petite asbl que cette affaire a pu éclater ?
    -Pourquoi cette histoire n’est pas entrée dans la mémoire collective à l’instar de l’ « affaire Dutroux » ou celle de « Fourniret » ?
    -Qu’en est-il de tous ces versements versés sur le compte d’Ulrich avec la mention « Apollo » ?
    -Quelles sont les personnes qui peuvent financièrement se permettre d’acheter des documents d’une telle perversité ?

     

    <span-style-span0></span-style-span0><span-style-span0></span-style-span0><span-style-span0></span-style-span0><span-style-span0></span-style-span0>A suivre...


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  •    Monsieur VERDI   Patrice                                                              

     

     Cannes le 14/08/09

    à                  

    Monsieur le Directeur

    CNAMTS-UNCAM

    50 av Prof André Lemierre  

    75986 PARIS CEDEX

    Tel : 01 72 60 10 00  Fax :  01 72 60 10 10

     

    Monsieur le Directeur,

     

    Je viens de recevoir un courrier du docteur DEPREZ en date du 04/08/09 qui m’annonce que l’instruction médicale de mon dossier ne contient aucune anomalie et que mes indemnités de rémunération réglées mensuellement par le receveur percepteur municipal de CANNES et non pas par vos services vont donc être supprimées d’autorité à compter du 13/07/09 pour non présentation à la convocation de cette même date, ce qui est entièrement faux et prouvé par l’attestation d’hospitalisation du CH de GRASSE du 13/07/09 fournie plusieurs fois à vos services.

    J’espère donc que le Docteur DEPREZ n’engage pas la responsabilité juridique de la CNAMTS dans cette décision abusive et totalement arbitraire.

    J’ai avisé dans un premier temps le Préfet des AM, le Président de la Cour d’Appel Administrative de MARSEILLE ainsi que les Procureurs de NICE et de GRASSE pour commencer à dénoncer publiquement cette erreur volontaire qui perpétue incontestablement la cabale de destruction sociale engagée contre ma famille par le maire de CANNES depuis 2001 et qui devrait normalement être rectifiée dans les plus brefs délais si nous sommes encore dans un état de droit et de justice sociale et où les pédophiles ne sont pas des fonctionnaires ou des élus protégés par des réseaux de pouvoir et d’argent qui les cooptent.

    Je vous prie de croire Monsieur le Directeur en l’expression de mes salutations distinguées et en l’espoir que vous saurez peser indubitablement la portée publique exponentielle que l’on peut envisager manifestement de cette décision politique et médicale aussi partiale qui ne me laisse aucune alternative quant à sa diffusion en masse si elle perdure formellement.

     

    VERDI Patrice.             

     

    PJ  : Copie du certificat de passage et d’hospitalisation en date du 13/07/09 du CH de GRASSE.   

    PS : PEDOPHILIE A CANNES sur GOOGLE ou tout autre moteur de recherche


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  • l’Affaire du CRIES

    Extrait du Colloque du 21 octobre 2000 - http://www.wittecomitesblancs.be/IMG/pdf/00.10.pdf

    Cette affaire est certainement, avant le dévoilement de l’affaire Dutroux, la preuve la plus évidente que des réseaux de pédophilie internationaux sévissent en Belgique depuis des années, et que, même s’il y a eu des condamnations, ces réseaux n’ont pas arrêté leurs activités après le procès.

    L’affaire du CRIES éclate en Belgique en 1986 avec l’arrestation d’un pédophile (Devuyst) en relation avec Michel Felu, 45 ans, un homme qui comme P. Derochette, a été interné sans jugement pour des faits de pédophilie puis libéré, et qui a été engagé, par compassion dira-t-il, comme homme à tout faire par le directeur de L’UNICEF Belgique Joseph Verbeeck.

    Michel Felu se sert des locaux de l’UNICEF pour organiser des séances de photos de pornographie enfantine. Il offre des cadeaux aux enfants, dira-t-il. Au cours de perquisitions opérées le 24 février 1987, les enquêteurs trouvent des photos, et du matériel servant à des séances de pédophilie. Felu avait aussi un laboratoire de photos qu’il avait été prié d’évacuer peu avant par la direction de l’Unicef décidément peu clairvoyante étant donné les antécédents de Felu…

    Certaines de ces photos, disons les plus « soft » qui ne mettent pas en scène des abus sexuels par des adultes, sont diffusées dans la revue « L’Espoir » éditée par le CRIES (Centre de Recherche et d’Information sur l’Enfance et la Sexualité). « L’Espoir » fait l’apologie de la liberté des relations sexuelles entre adultes et enfants. La revue est distribuée dans certaines librairies et centre « progressistes ».

    Le CRIES a alors son siège Chaussée d’Ixelles dans l’immeuble qui abrite également « Infor-Homosexuelité » et « Radio Antenne Rose » qui vont proclamer haut et fort par des droits de réponse à la presse, qu’ils condamnent la pédophilie, malgré les liens étroits qu’ils ont avec le fondateur du CRIES, Philippe Carpentier.

    La police découvre que le CRIES cache en fait un réseau international de pédophiles qui concerne au moins 18 pays. 4.000 photos et cassettes sont saisis - un gendarme écoeuré qui les a vues me dira qu’il y en avait un m° !- Un matériel qui n’a plus rien avoir avec le soi-disant « naturisme » de la revue « L’Espoir », mais « qui montre des scènes atroces d’abus d’enfants qui ne sont quelquefois que des bébés. » Selon la presse,(« La Dernière Heure » 23/ 11 /89 et 4/4/87)
    « une centaine d’enfants sont répertoriés sur ces photos et cassettes destinées au commerce dont les filières s’étendent jusqu’au Canada, au Brésil, au Japon et en Afrique. »

    Les photos informatisées pour être commercialisées ont été retrouvées chez les principaux animateurs du Cries. Un fichier est saisi contenant les noms des centaines de membres du Cries à travers le monde, dont à ma connaissance, une soixantaine en Belgique. En Belgique l‘enquête révèle que le réseau « s’est développé en plusieurs endroits, pas
    seulement dans les locaux de L’Unicef, mais aussi dans des appartements à Anvers et à Bruxelles où de jeunes enfants étaient photographiés lors de « parties ».( Le Soir 5/5/87).

    Après l’arrestation de Michel Felu, en mars 87, une série d’autres personnes sont arrêtées dont l’un se suicide le lendemain dans sa cellule. Deux personnes sont arrêtées aux Pays Bas, à Delft ou la police saisit de nombreux
    documents chez l’architecte, Jan Weeckers. L’enquête se développe également en Suisse, en France et en Grande Bretagne.

    Un suisse Beat Meir est arrêté à Douvres, en possession de matériel de pornographie enfantine alors qu’il allait s’embarquer pour Calais avec un enfant de 4 ans. Un homme de nationalité américaine, Timothy P,27 ans résidant à Zaventhem est inculpé de trafic d’objets obscènes. En Belgique parmi les inculpés on trouve le fondateur du Cries, Philippe Carpentier ancien traducteur juré au Parquet de Bruxelles, le photographe Olivier Ralet, le directeur
    de l’Unicef et ancien journaliste Jos Verbeeck, un cinéaste, un traducteur au ministère de la justice, deux médecins dont l’un a fourni son aide pour organiser le réseau informatique du CRIES, un homme qui clame n’avoir participé que 2 mois à l’administration de la revue « l’Espoir »), un chef louveteau, un ingénieur responsable du CRIES, un professeur et des
    parents qui ont loué leurs enfants au réseau . ( Viviane H. 42 ans qui louait son petit garçon pour 20.000 FB., une mère de famille qui a mis son fils et sa fille dans le réseau, et un couple d’Anvers, qui a prostitué son petit garçon. ).

    Jacques Delbouille qui va se répandre en insultes contre le journaliste René Haquin dans la presse homo, est condamné à un an avec sursis pour fait de rébellion et port d’armes prohibée en marge de l’affaire du Cries sur les listes duquel il figure. 25 enfants de 5 à 16 ans ont été identifiés par la section moeurs de la PJ.

    Le 7 mars 1988 , 17 hommes et femmes comparaissent devant la 57° chambre correctionnelle pour attentat à la pudeur et outrages aux moeurs sur des enfants. Jean-Claude Weber, l’un des principaux protagonistes du réseau du Cries, qui se fait passer pour cinéaste, domicilié à Jupille, est emprisonné à Montpellier au moment du procès. Il vient d’être condamné à 6 ans de prison en France pour des faits de pédophilie. 13 prévenus sont condamnés sévèrement . Le père qui a livré son fils aux bourreaux, un facteur des postes, jugé séparément, écope de 7 ans de prison, son épouse a été déclarée mentalement irresponsable.

    Malgré la sévérité des peines prononcées on constate que tous les prévenus ne se retrouvent pas devant le tribunal (notamment les médecins) et qu’une mère de famille dont le nom n’a jamais été cité par la presse et qui avait autorisé un des inculpés à prendre des photos de sa fille, est acquittée, je cite, « le tribunal estimant que les faits qui lui sont
    reprochés provenaient du souci dans certains milieux de paraître branchés »… .

    En octobre 88, la cour d’Appel aggrave d’un ou deux ans les peines prononcées en correctionnelle. Felu et Carpentier sont condamnés au maximum :10 ans. Par contre le directeur de l’Unicef, condamné à 2 ans avec sursis , est cette fois acquitté .

    En août 1991, extradé par la France, J.C. Weber écope de 9 ans de prison. La presse estime qu’un point final a été mis à ce terrible scandale du Cries.

    Plus un mot sur les petites victimes et l’attention que la justice aurait du leur porter. Plus un mot sur les ramifications internationales du réseau belge et de ses clients. Comme par hasard, on retrouve des photos du CRIES sur le CD Rom dit « de Zandvoort » !

    Jean-Marc Houdmont a également été interrogé dans la cadre de ce même dossier du CRIES. Houdmont a été suspecté de trafic de matériel pédophile. (On en a retrouvé dans son châlet incendié en 1990). Il s’est (opportunément ?) tué dans un accident de voiture le 25 février 1997, alors qu’il se rendait à Namur pour faire des « révélations » au juge d’instruction Coméliau sur l’enlèvement d’Elisabeth Brichet disparue en 1989.

    Sur les listes du Cries figurent aussi toutes les organisations de défense de la pédophilie en France, en GB, aux EU, au Danemark etc.. Ce qui prouve que ce n’est pas un petit lieu de thérapie de groupe comme les défenseurs du Cries ont voulu le faire apparaître.

    En France, où 280 personnes figurent sur les listes du CRIES l’affaire sera totalement étouffée, avec les grands moyens..
    Le relais principal du réseau CRIES en France est le « Centre du Christ libérateur » à Paris, une organisation qui se présente comme « Centre pastoral et psychologique d’entraide aux minorités sexuelles » animée par le pasteur belge Joseph Doucé .

    Parmi ces minorités, dont le pasteur s’occupe, les pédophiles, qui se réunissent chez lui tous les dimanches et pour la défense desquels il a écrit un livre « La pédophilie en question ».

    Il développe une fine stratégie dans le but de casser ce qu’il appelle le tabou de la pédophilie. Les textes du pasteur sont éloquents. Pour lui « La relation pédophilique, c’est la concrétisation des désirs de l’enfant et de l’adulte, désirs mutuels qui font un véritable partage…(p.38) » .

    Il insiste sur le fait qu’il faut éviter d’agir de front en faveur de la pédophilie, mais qu’il faut plutôt infiltrer les mouvements qui défendent la liberté individuelle et faire du lobbying auprès des responsables politiques pour abaisser l’âge de la majorité sexuelle. Danièle Mitterand et son Mouvement « France-Libertés » figure en bonne place dans les fichiers du curieux pasteur.

    Le 19 juillet 1990, Joseph Doucé disparaît. Selon des témoins, dont son ami Guy Bondar, le pasteur est parti de son plein gré avec deux agents de services de renseignement qu’il connaissait, en déclarant à son ami qu’il se rendait au « château », ce qui dans son vocabulaire signifiait l’Elysée… .Son cadavre sera retrouvé, selon la version officielle, le
    17 octobre en forêt de Rambouillet.Un inspecteur des renseignements généraux J.P.Dufourg a été inculpé du meurtre puis disculpé en 1998.

    A-t-on voulu faire taire le pasteur ou a-t-on voulu le faire parler ?
    L’enquête, 10 ans après, n’est pas close, mais a tous les parfums nauséabonds des chantages et couvertures, bref d’une affaire d’Etat, une des plus pourries du règne de Mitterand…

    Doucé était occasionnellement un indicateur de la brigade des moeurs, mais il avait aussi de solides relations dans les milieux politiques, littéraires, du show-biz et de la mode. Il était au courant des penchants sexuels de personnes importantes qu’il aurait pu faire chanter.

     

    Cries, le premier réseau démantelé - DH

    BRUXELLES L'affaire du Cries, évoquée ci-dessus, remonte à 1987. La police judiciaire bruxelloise avait alors démantelé ce qui est apparu depuis lors comme le premier réseau pédophile organisé.
    L'enquête sur le Cries, Centre de recherche et d'information sur l'enfance et la sexualité, installé à Ixelles, avait permis de mettre au jour un vaste réseau d'enfants répertoriés en photos sur fichiers informatiques et mis à la disposition de pédophiles en Belgique mais aussi à l'étranger. L'enquête a établi des ramifications jusqu'au Japon, en Afrique et en Amérique du Sud. Des faits de sévices sexuels, location d'enfants, prostitution de mineurs, tourisme sexuel organisé ont été établis. En mars 88, neuf prévenus avaient écopé en correctionnelle d'un total de 57 ans de prison. En appel, en octobre 88, cinq prévenus ont écopé de peines variant de 10 à 7 ans de prison. Condamné en correctionnelle, un ancien directeur de l'Unicef Belgique avait été acquitté en appel.
    L'enquête menée par la police à l'époque avait visé de très nombreuses personnes soupçonnées de pédophilie et qui avaient gravité autour du Cries.

     


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