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     Le Calvaire de Regina LOUF ou X1

     
    Cette histoire risque de mettre la société belge à genoux. C'est un récit sordide qui a fait de son auteur l'un des personnages les plus diabolisés de son pays. L'histoire de l'enfance Regina Louf, au cours de laquelle elle fut l'esclave sexuelle de certaines des personnes les plus puissantes du monde politique et commercial belge est une bombe à retardement.


    D'après le témoignage de Louf, son cauchemar a commencé lorsqu' elle avait moins de trois ans. Envoyée vivre chez sa grand-mère dans la jolie station balnéaire de Knokke à la mer du Nord, Louf fut abusée par des dizaines d'hommes jusqu'à l'âge de douze ans. Parmi ceux qu'elle désigne comme ayant abusé d'elle lors de parties fines, se trouvaient quelques citoyens belges connus puissants - et pédophiles. Notamment, dit-elle, un politicien important aujourd'hui décédé, et un homme qui est toujours actif dans la politique européenne, des politiciens et des hommes d'affaires très connus.


    A son retour chez ses parents à Gand, lorsqu' elle avait 12 ans, elle fut donnée à l'amant de sa mère, qui devint son souteneur. Il l'obligeait à avoir des relations sexuelles avec lui et la prêtait à d'autres hommes contre de l'argent. Avec d'autres jeunes filles de son âge, elle fournissait des services sexuels à Bruxelles et Anvers, et même sur un yacht, propriété d'un belge fortuné. Certaines de ses amies ont survécu. D'autres sont mortes, et font partie des centaines d'enfants disparus, supposés morts, dans le pays où siègent les structures clefs de l'Union européenne.


    Regina Louf a commencé à raconter ses horribles histoires en 1996, lorsqu'on découvrit les corps de deux fillettes dans la maison de Dutroux - l'homme qui volait des enfants pour les livrer à des pédophiles. Elle a reconnu Dutroux, accusé d'avoir kidnappé et tué des jeunes filles dont les corps furent retrouvés dans sa propriété. Louf réalisa la chance qu'elle avait d'être encore en vie.


    Elle conteste la version officielle qui veut que Dutroux agissait seul et qu'il n'est pas membre d'un réseau pédophile. De plus, elle a affirmé que Dutroux et d'autres étaient protégés par des gens puissants, notamment des juges et des policiers. Les Belges, qui sont descendus dans la rue par centaines de milliers pour protester contre la manière dont les autorités avaient permis à Dutroux d'exercer son horrible commerce sans intervenir, semblaient partager l'avis de Louf. Globalement pourtant, les médias belges et l'establishment politique l'ont démolie en la décrivant comme une mythomane. Ceci aurait sans doute été la fin de l'affaire, s'il n'y avait eu les policiers qui ont examiné très soigneusement ses déclarations.


    Elle fut entendue par l'adjudant Patriek De Baets et lui raconta son histoire en détails, en donnant les noms des personnes connues dont elle affirmait qu'ils étaient des pédophiles. Il il fit des vérifications. Lui et ses collègues interrogèrent Louf et d'autres personnes, entre autres sa mère et son ancien souteneur, qui confirmèrent ce qu'elle racontait à propos des abus qu'elle avait subis quand elle était enfant. Le jour où le souteneur reconnut qu'il avait eu des relations sexuelles avec Louf quand elle avait 12 ans, l'enquête de De Baets fut close - le même jour où Dutroux s'évadait [brièvement].


    Au lieu de recevoir des moyens de vérifier ses dires, d'interviewer d'autres victimes dont elle avait cité le nom et d'enquêter sur les centaines de jeunes filles mystérieusement disparues  et décédées dans les années 70, 80 et 90, De Baets et son équipe furent écartés de l'enquête. Accusé d'avoir fabriqué des preuves et d'avoir suggéré des réponses à Louf, De Baets a passé ces quatre dernières années à tenter de laver son nom. Dans une saga qui rappelle l'affaire Stalker dans le nord, les policiers qui avaient eu pour mission de trouver la vérité ont vu leur hiérarchie se retourner contre eux. L'an dernier, toutes les charges et accusations portées contre De Baets ont été levées et il fut réintégré comme officier supérieur dans l'école de recherche de la police fédérale à Bruxelles.

     

    De Baets ne croit pas que Dutroux agissait seul. Il est convaincu qu'il y a des protections bien organisées qui couvrent un scandale d'abus d'enfants qui dure depuis longtemps. Ce qui semble crucial, c'est que certains éléments clef des témoignages de Louf sont corroborés par d'autres témoignages de victimes et de psychiatres qui ont examiné la jeune femme. De Baets et Olivier Dupuis, un Parlementaire européen belge qui représente une section locale dans le nord de l'Italie, sont d'accord sur le fait qu'il y a des protections qui sont exercées depuis les plus hautes sphères de la société.


    Louf, qui vit maintenant avec son mari Erwin et leurs quatre enfants,  tient une animalerie - pour chiens, chats et  chevaux - près de Gand, est déterminée à faire entendre sa voix. C'est la découverte des enfants kidnappées et assassinées en 1996 et l'arrestation spectaculaire de Marc Dutroux et son associé, Michel Nihoul, qui la poussèrent à révéler ses cauchemars du passé.


    "Quand j'ai vu qu'il avait été arrêté, j'ai témoigné auprès de la gendarmerie que j'avais vu Dutroux et Nihoul ensemble des années auparavant à Bruxelles," a déclaré Louf au Sunday Business Post, chez elle à Gand". J'étais une enfant prostituée, mon souteneur était un ami de la famille. Je savais que Dutroux recherchait des filles qu'il entraînait à satisfaire des pédophiles et des hommes qui voulaient avoir des rapports sexuels avec de jeunes enfants. J'ai assisté au meurtre de certains enfants, je n'étais donc pas fort surprise quand ils ont trouvé Dutroux et les corps. Plus tard, la police a fait le lien entre une fille disparue retrouvée morte et moi."


    Louf affirme connaître trois filles retrouvées mortes dans les années 80 et 90 en Belgique. Carine Dellaert avait 15 ans quand elle fut enlevée en 1982. Son corps fut retrouvé à Gand un an plus tard. Christine Van Hees avait 14 ans quand on la retrouva morte à Bruxelles en 1984. Catherine De Cuyper avait 16 ans quand on découvrit sa dépouille à Anvers en 1991. "Carine était ma meilleur amie" dit Louf. "On avait abusé d'elle quand elle était encore une petite fille. Les hommes qui abusaient de moi n'étaient pas toujours des politiciens ou de grands avocats, mais beaucoup d'entre eux avaient des moyens et étaient influents. Il y avait parmi eux des médecins, des avocats, des juges et des hommes d'affaires. Je les rencontrais dans des villas des environs de Bruxelles. J'avais appris à avoir des relations sado-masochistes et des relations sexuelles," dit-elle. Des films pornographiques étaient réalisés et on faisait des photos. J'avais presque 16 ans quand j'ai rencontré mon mari en 1984 et que j'ai échappé à ces gens."


    Cela lui prit des années avant de rompre définitivement avec son souteneur, parce qu'il essayait, avec des complices, de l'impliquer dans des meurtres dont elle avait été le témoin. "J'ai été abusée sexuellement, et quand ça avait été trop loin pour moi, ils appelaient des médecins pour m'aider. Je sais qu'ils avaient également "entraîné" des enfants âgés de trois ans. Il faut avoir un instinct de survie très fort et apprendre à maîtriser la douleur. Vous apprenez à ne pas hurler et ne pas pleurer, à composer des attitudes, à être loyal et à considérer ces hommes comme s'ils étaient vos dieux."


    "Je me souviens de beaucoup de noms, mais pas de tous. Je les ai dits à la police. J'ai cité de politiciens (nommé), des médecins, des avocats, des juges et des hommes d'affaires. Bien sûr, on a affirmé que j'avais simplement repris ces noms de la télévision, mais la plupart de ces personnes ne sont jamais apparues à la télévision. Mais certains d'entre eux étaient très connus. Un ancien grand politicien (elle cite le nom) est actuellement décédé. Un autre (elle cite le nom) est toujours en politique à un niveau élevé. Une personne fait partie de l'industrie des armements (elle cite le nom), un autre travaille dans le cinéma (elle cite le nom), un autre est dans le commerce des vêtements (elle cite le nom). Mon souteneur a reconnu auprès de la police qu'il a abusé de moi pendant des années, mais il n'a jamais été inculpé. Il n'a pas non plus cité le nom des nombreux clients que j'ai satisfaits pour lui."


    Le 9 septembre 1996, Louf fut entendue pour la première fois par Patriek De Baets et les officiers désignés pour enquêter sur l'industrie pédo-pornographique après l'arrestation de Marc Dutroux. "Ils m'ont prise au sérieux. Il n'était pas question de croyance. Ils se sont aperçus que ce que je leur disais correspondait à leurs recherches. Après plusieurs mois, ils furent écartés de l'enquête et accusés de m'avoir manipulée. Actuellement, ils ont été réhabilités. Certains de mes clients faisaient partie de la gendarmerie."


    Une affaire célèbre de corruption datant de la fin des années 70 impliquant un réseau fournissant des prostituées à des hommes d'affaires, notamment étrangers, correspond aux allégations de Louf. On les compromettait en les photographiant au lit avec des enfants. Des contrats commerciaux juteux étaient assurés par le chantage à la pédo-pornographie.


    L'un des juges (nom connu) qu'elle rencontra lors d'une partouze, était impliqué dans l'enquête sur l'une des jeunes filles qu'on avait retrouvées mortes après leurs disparitions. Les enquêtes ne menèrent ni à des arrestations ni à des condamnations.


    "Ma mère est décédée en 1998, mais mon père vit toujours," dit-elle. Elle affirme que son père nie ce qui s'est passé. Avant de décéder, la mère de Louf a reconnu qu'elle avait autorisé sa fille à être prostituée par sa grand mère et par le souteneur qui s'occupa d'elle ensuite. D'après De Baets, la mère de Louf avait elle-même été victime d'abus sexuels massifs organisés par sa propre mère à Knokke.


    "Quand j'étais avec ma grand mère, depuis l'âge d'un an et demi jusqu'à l'âge de 12 ans, j'étais abusée sans arrêt," déclare Louf. Lorsque j'ai eu 12 ans, j'en ai parlé au principal de mon école qui lui-même est allé parler à ma grand-mère. Elle m'a envoyée chez mes parents à Gand en prétendant que j'étais folle. Je pensais que c'en était fini des abus, mais ma mère m'a prêtée à son amant (cite le nom). Cet homme prêtait des enfants contre de l'argent. Il avait la clef de notre maison et venait me violer quand bon lui semblait. Quand j'en ai parlé à un professeur à Gand, celui-ci est allé voir mes parents, puis il m'a accusée d'avoir inventé des histoires.


    "Un jour je me suis retrouvée sur un yacht avec (le politicien connu). Je le rencontrais à Bruxelles, à Gand et Anvers, parfois deux à trois fois par mois. Le bateau appartenait à (elle cite le nom) qui est très riche. Je me souviens du nom du bateau, de la couleur du mobilier. Je me souviens même de l'immatriculation de son véhicule et je peux le décrire."


    Le politicien belge a nié auprès du Sunday Business Post avoir jamais assisté à des partouzes, bien qu'il confirme avoir été sur le bateau de l'homme d'affaires. Il conteste certains points du récit de Louf et déclare qu'il ne l'a jamais rencontrée de sa vie. Louf est formelle quant au fait qu'elle connaissait cet homme et qu'il participait à des orgies en différents endroits.


    "J'ai raconté tout cela à la police, mais je pense qu'il n'arrivera jamais rien aux auteurs" dit Louf. L'un des procureurs chargés de l'enquête a déclaré que même si 5 % de ce que je disais était vrai, cela constituerait un  scandale qui ferait exploser la Belgique. Il existe également des liens avec les Pays-Bas et la France. Ces personnes enlevaient des filles dans la rue. Quand on a arrêté Dutroux, j'ai cru que les autres tomberaient, mais la police belge et les médias ne recherchent pas la vérité."


    La police a maintenant préparé deux versions contradictoires de son témoignage. Elle a rédigé sa propre version, qui a été traduite en français et en anglais. Son histoire ne disparaîtra pas.

    Pourquoi 
    il faut écouter

    Régina Louf


    À l'encontre de l'opinion la plus répandue selon laquelle elle est une folle ou une agitatrice, le psychiatre Marc Reisinger s'est engagé dans la défense de Regina Louf. Pourquoi ? C'est ce qu'il essaie inlassablement d'expliquer, jusque dans la postface du livre où elle publie ses mémoires.

    L'affaire Dutroux, depuis qu'elle a éclaté au grand jour, a été l'occasion d'une livraison régulière d'ouvrages qui tentent d'apporter leur éclairage sur tel ou tel aspect de la problématique. Maltraitance d'enfants et crise de la justice, guerre des polices ou capacité d'une société démocratique à bien gérer ses faits-divers, entre le secret de l'instruction, les droits de la défense et la protection des victimes... alimentent la réflexion de journalistes et d'intellectuels. Et voici que l'un des témoins de Neufchâteau dans la thèse d'un réseau de pédophilie, Regina Louf, alias X1, a elle aussi pris la plume. Dans Silence on tue des enfants !, elle raconte le long calvaire de son enfance et de son adolescence, prostituée dès son plus jeune âge par sa grand-mère puis par un ami de ses parents, et poursuit en décrivant l'enquête qui a tourné autour de sa déposition, et l'extraordinaire campagne de dénigrement dont elle-même fait l'objet depuis plus d'un an.

    Ni folle, ni mythomane 
    concluent les médecins !

    Face à ce livre, il ne s'agit certainement pas de se positionner en sceptique ou en convaincu avant de l'avoir lu. Car, pour insoutenable qu'il soit parfois, il donne à comprendre de l'intérieur les mécanismes qui permettent à des adultes pervers d'installer et de maintenir leur domination sur des enfants, et le processus qui permet à des victimes de résister à une souffrance inhumaine. Or, si le discours ambiant fait de Regina une folle et une affabulatrice, c'est totalement à l'encontre de l'expertise rendue en septembre 97 par un collège de psychiatres menés par le Pr Igodt, de la KUL, à la demande de Neufchâteau. Pour eux, cela ne fait aucun doute, vraiment elle a été traumatisée par des abus sexuels massifs mais grâce à une thérapie qui a duré des années, elle a retrouvé un équilibre. Le témoin peut donc être utilisé comme un élément de l'enquête,concluent-ils, ajoutant que son témoignage seul ne peut être considéré comme une preuve en soi. Sauf à être confirmé par une source indépendante.

    Le Dr Marc Reisinger est comme tout le monde. Dès qu'il en entend parler, ce récit de X1 le choque, lui semble inimaginable. Mais ce n'est pas parce que ce qu'elle décrit est incroyable qu'elle l'a inventé, ni parce que c'est révoltant qu'elle est une agitatrice, comme on l'a lu par ailleurs. A ses yeux, face au dilemme qu'inspire le témoignage de Regina, la seule attitude valable est d'écouter et de chercher à s'informer. C'est pourquoi lui a continué à se renseigner. Et que constate-t-il ? Qu'il existe un hiatus de plus en plus grand entre les faits décrits par la jeune femme et le discours tenu à son propos. Or, il peut être raisonnable de se fier à l'opinion générale dans des matières que l'on connaît mal, dit-il ; par contre, lorsqu'on approfondit un sujet, il ne faut pas se soumettre aux idées reçues, mais en revenir à un questionnement inlassable. C'est le fondement même de la pensée rationnelle, avec Platon qui distinguait l'opinion (doxa) du savoir (scientia). Et lorsqu'elle s'avère non fondée, il faut pouvoir défier l'opinion.

    C'est pourquoi, au moment où la presse se met à vilipender Regina Louf sans autrement relayer les déclarations qu'elle a faites, Reisinger souhaite ramener un peu de raison dans le débat. Avec d'autres, il crée une ASBL dont l'objet est de faire connaître la gravité des événements qu'elle décrit et de surtout mettre en évidence les questions en suspens, qui s'accumulent de manière qu'il juge malsaine. Mais en fait de débat, l'on parla alors de volonté de déstabiliser la justice, et la controverse prit l'allure d'une véritable chasse aux sorcières.

    Lire, et penser tout seul

    Depuis, Regina Louf a publié son livre, qui parle pour elle-même, et Marc Reisinger l'a postfacé. Le moins que l'on puisse faire n'est-il pas de les écouter, et d'accepter la confrontation avec un récit aussi pudique, quoi qu'on en dise, qu'il était possible, plutôt que de s'en remettre au jugement des autres, au risque de cautionner l'instauration d'une pensée unique... Ces pages, comme le dit le Pr Léon Schwartzenberg, sont autre chose qu'un livre : c'est un cri maintes fois répété qui aurait envie d'être un hurlement pour la terre entière et qui, devant la surdité du monde, devient un gémissement, une longue plainte solitaire, des sanglots, des pleurs qui finissent par s'assécher, tant ce que vit cette petite fille est au-delà des larmes.

    http://www.dailymotion.com/playlist/x18mwo_Tonino17-_regina-louf

     

    Silence on tue des enfants ! par Regina Louf, préface de Léon Schwartzenberg, postface de Marc Reisinger, aux Editions Mols, collection Pour la vérité, 318 pages.

     

     


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    En 1842, la Scala commande un opéra à l’un de mes ascendants, Nabucodonosor, et c'est un immense triomphe.

    C'est dans cette œuvre, qu' apparaît le génie novateur de Verdi : un langage lyrique violent et populaire, où le peuple émerge à travers les chœurs comme un personnage épique et indestructible.

     

    Je vous transmets certaines questions qui devraient vous amener à comprendre les dérives d’un SSystème.

     

    1 : La Boîte (DGSE) a perdu deux de ses hommes le 30/03/09 par la déflagration des explosifs placés sur un

    véhicule. Mais pour quel type d’entraînement, certainement pas d’OP du style SATANIC ?

     

    La DGSE compte 4.500 agents, dont 3.200 civils, et 1.300 militaires pour un budget de 450 millions d'euros, sans compter les fonds spéciaux. Elle appartient à la communauté française du renseignement (14.000 hommes et femmes) et a succédé en 1982 au Service de documentation extérieure et de contre-espionnage (Sdece).

     

    2 : Les Réseaux Pédophiles sont le socle qui canalise de nombreuses actions des services de renseignement.

     

    3 : Les Politiques Français et Etrangers couvrent ces réseaux car beaucoup trop de notables y participent.

     

    4 : Marcel VERVLOESEM est torturé quotidiennement.

     

    5 : BOULIN aurait été assassiné par le réseau FOCCART pour couvrir la corruption politique.

     

    6 : Le 11/09/01 des explosifs militaires auraient été utilisés à NY pour les deux tours du WTC.

     

    7 : JPK serait mort pour 300 Millions d’Euros , BEREGOVOY pour 3,5 Milliards de dollars versés en SUISSE.

     

    8 : La Cinquième République a révélé intégralement le pouvoir des affairistes de la Franc-Maçonnerie et du code 322.

     

    Le Virus ANTI-POLITICO-PEDOPHILE se propage donc désormais comme une traînée de Poudre sur L’UE :

     

    Liste des REVOLUTIONNAIRES COURAGEUX qui refusent ou ont refusé avec courage de se taire :

    nnes :

    Serge Garde

     Laurence Beneux

    Procureur Bréard

    Jean Pierre Mocky

    gendarme Gut Geubels (RIP)

    Capitaine de police Alain Vidal

    gendarme jambert(RIP)

    inspecteur Jean-marc Houdmont (RIP)

     gendarme roussel

     policier marc silva

    patricia poupard

    gendarme stan maillaud

     fils de juge assassiné Charles et diane Roche,

    Les princesses de croy

    Maria Maoloni,

    Karl zéro,

    olivier Bonnet,

    Marcel Vervloesem,

    Martine Nisse,

    Martine Bouillon,

    george glatz,

    Jan Boeykens,

     

    Mais aussi :

     

    Le Policier Patrice VERDI qui a été déclaré sain d’esprit par le Professeur ROURE (C’est ennuyeux pour BCP de MONDE)

     

    Les 15 parlementaires qui demandent des explications sur la mort du juge Pierre Roche, et tant d'autres qui dénoncent ces crimes odieux et 

    sont aussitôt traités de FOUS ou de menteurs.

     

    MESSAGE PERSONNEL

     

    A TOUS LES CITOYENS

     

    PROTEGEZ VOS LIBERTES , ELLES DISPARAISSENT COMME VOS ENFANTS !

     

     

    PS : A CANNES ON ENFERME PAS LES ORDURES

     

    ON LES PROTEGE DEPUIS TROP LONGTEMPS!!!

     

     

    PEDOPHILIE ET CINQUIEME REPUBLIQUE


    Jean-Pierre MOCKY

     

    CENSURE

     

     

    Avec Les ballets écarlates, Jean-pierre Mocky s'attaque à l'un des sujets les plus douloureux de notre société : la pédophilie. Si le cinéaste a déjà traité ce thème (Noir Comme Le Souvenir et Le Témoin), il l'aborde ici de manière abrupte et violente. Entre militantisme forcené et dénonciation agressive, Les ballets écarlates s'impose comme le film le plus éprouvant jamais réalisé par Mocky. Dès les premières minutes, il dévoile ses intentions : des enfants de 7 à 10 ans, réunis dans une belle et immense demeure, se dénudent et rejoignent un salon où les attendent des notables pervers et obscènes. Le ton est donné. Jean-pierre Mocky filme la scène avec toute la froideur et la cruauté qu'exige un tel sujet. A l'origine du scénario, l'enlèvement de la petite fille d'un journaliste de France Info. Libérée trois jours plus tard, la fillette traumatisée n'a pas prononcé un mot depuis des mois. "La presse s'empare de ces crimes, mais elle parle moins des jeunes victimes de rapt qui reviennent à la maison", explique le réalisateur. D'où l'intrigue des ballets écarlates. Celle de cette mère qui voit débarquer chez elle un enfant échappé du réseau pédophile et qui décide de faire justice elle-même. Avec Les Ballets écarlates, Mocky se montre radical et sans compromis.

     

    http://www.dailymotion.com/video/xc76px_jean-pierre-mocky-et-la-pédophilie_news


    MARCEL VERVLOESEM EST UN DETENU POLITIQUE BELGE QUI EST EMPRISONNE


    ET ISOLE ACTUELLEMENT A ST GILLES POUR LA PROTECTION JUDICIAIRE ET POLITIQUE


    DES RESEAUX PEDOPHILES MAFIEUX QUE CET HOMME A DENONCE PUBLIQUEMENT.


    LIBERONS CET HOMME MOURANT DES TORTURES MORALES ET PHYSIQUES QUE L’UE 


    FAIT SUBIR A CE DREYFUS DU XXIe SIECLE.


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    Isolation "sauce cocaïne" pour Marcel Vervloesem


    Marcel Vervloesem, qui a remis aux autorités le fichier de 88'539 photos de crimes réels en 1998, est infligé l’isolation complète, dés que son ONG, le Werkgroep Morkhoven, retrouve une victime vivante. Il a été transféré à la prison de St Gilles à Bruxelles pour un traitement ambulatoire de crimes qu'il est reconnu physiquement incapable d'avoir exécuté. Il est objet d’un règlement inconnu du personnel de la prison, quand on a téléphoné pour connaître les horaires des visites. Il n'a pas pu voir ses collaborateurs et téléphoner, même à sa famille.

    L'Etat traite les visiteurs de la prison de St Gilles comme des chiens, infligés des heures d’attente, debout dans une file qui n’en finit pas, dans le vent, le froid et la pluie. Ceux qui n’ont pas la santé pour supporter ces conditions sont dans l’impossibilité physique de voir leurs proches.

    Nous, "race humaine inférieure", pouvons toutefois faire des découvertes fascinantes, en faisant causette dans la file de la prison de St Gilles. Il paraît que les conditions de détentions favorables s’obtiennent des fonctionnaires pénitentiaires de toutes les prisons, en échange d’adresses où trouver de la drogue chic et pas chère. On comprend donc comment un voyou quasi illettré, proche d’un gang criminel qui est actif dans le trafic de drogues, la prostitution et la pornographie, parvient à publier sur Internet, toutes les conclusions sur le sort réservé à Marcel Vervloesem, longtemps avant qu’elles ne soient officielles!

    C'est assez logique quand l'ex-ministre de la Justice et actuel ministre de la santé plaide pour que tous puissent se déshydrater la cervelle et les émotions sans risque, grâce à des tests gratuits de la qualité de la cocaïne. La drogue donne une illusion d'invulnérabilité et de génie, qui peut mener à croire a un "droit de vie ou de mort" sur autrui. Il y a assez de toxicomanes dans les prisons pour comprendre que les fonctions décisionnelles doivent être strictement interdites aux toxicomanes, quelque soit leur niveau d'éducation. Accepter des toxicomanes dans l'administration est irresponsable et inacceptable, en raison du potentiel de stupidité et de cruauté que peut engendrer la consommation de la drogue.

    En 2005, à l’occasion d’une détention préventive illégale de Marcel Vervloesem, le ministère de la justice répondait en riant: "Mais non, on ne le réveille pas tous les quarts d’heure. On va juste voir s’il n’est pas mort." Un attaché à la direction de la prison de Turnhout avait alors eu le coup de génie de porter plainte pour une menace représentée par une plainte contre X pour non-assistance à personne en danger.

    La toxicomanie peut expliquer l'incroyable désordre dans les services psychosociaux de l'état. Les pièces se perdent. Certains fonctionaires se prétendent en vacances durant trois mois, d'autres brutalisent les prisonniers par des menaces. Le manque de ligne conductrice entre les dossiers laisse penser à un mélange de corruption et de travail désastreux du à la drogue. L'isolation de Marcel Vervloesem pourrait être expliquée par un oubli "sauce cocaïne" de transmettre la liste des personnes qu'il est autorisé à voir, mais il est objet de telles persécutions, qu'on doute d'un accident.

    A présent, Marcel Vervloesem est le seul prisonnier à qui il est interdit d’être jugé ou hospitalisé dans sa juridiction pour des motifs que l’invulnérable Stefaan De Clerk, l’actuel ministre de la justice, est trop génial pour avoir besoin d’expliquer. Nous, race inférieure, devrions croire qu’un nouveau règlement obligerait les prisonniers à suivre le juge d’application des peines en dehors de leur juridiction, comme si la fonction de juge suppléant avait été abolie.

    L'assistant, qui se sentait menacé par une plainte de non assistance à personne en danger, a entre-temps raté son examen pour devenir directeur de la prison de Turnhout. Il est devenu président du collège du personnel, une fonction qui requiert son avis sur la requête d'un prisonnier, sans que les membres du personnel ne doivent voter par oui ou par non à des questions précises. Le dernier collège du personnel était favorable à libération de Marcel Vervloesem pour raison de santé. Celui-ci rejoint l'avis des trafiquants de drogue. Si l’histoire doit se répéter, le tribunal d’application des peines de Hasselt se contentera de remplacer l’orthographe phonétique des trafiquants, par l’orthographe du juge.

    Les trafiquants de drogues estiment que Marcel Vervloesem ne peut sortir de prison, ni avoir accès aux traitements médicaux dont sa vie dépend, tant qu’il n’avoue pas les crimes dont ils l’ont accusés, si incohérents, que pas un seul tribunal, même saupoudré de cocaïne n'aurait trouvé le moyen d’accréditer. Les trafiquants pensent qu'un cancer triplement métastasé de 5 ans, un diabète insulinodépendant, des dysfonctions graves des reins, du cœur et du pancréas sont de la "propre faute" de Marcel Vervloesem, comme leur médecins attribuent les séquelles de leur toxicomanie a "leur propre faute".

    L’an dernier, le Dr Van Mol, médecin chef de toutes les prisons belges, a eu l’originalité de retenir le diagnostique des trafiquants de drogue, en assurant que les maladies de Marcel Vervloesem étaient "de sa propre faute", entre autres parce qu’il serait fumeur, alors qu’il n’a jamais fumé de sa vie. Il interdit son hospitalisation tant qu'il ne soit dans le coma ou que les médecins pensent qu'il n'a plus que trois jours à vivre.

    Depuis, le nouveau président du collège du personnel s’est basé sur ses feuilles de cantine de Marcel Vervloesem pour assurer qu'il serait le seul à blâmer pour ses maladies non traitées, qui seraient à présent "à 50% de sa faute", parce qu’il commande des fruits, ce qu’il confond intelligemment à "des sucreries".

    Les trafiquants sont satisfaits de la censure des médias qu’ils approvisionnent en drogue, mais allergiques à l’exposition de leurs secrets par les ONG des droits de l’homme. Leur seul desideratum que la juge Gossens n’a pas retenu, est de faire châtrer Marcel Vervloesem, comme certains d’entre eux l’ont été dans les pays gouvernés par la charia. A présent, le tribunal d’application des peines de Hasselt devrait interdire à un homme de louer un appartement dans une maison où personne n’a de casier judiciaire, au motif que les ONG des droits de l’homme sont domiciliées à l’étage.

    "Le problème", selon celui qui n’a pas les capacités pour devenir directeur de prison, c’est que "ce sont des gens qui le défendent". Marcel Vervloesem ne serait pas admissible à la surveillance électronique, la liberté provisoire, les congés pénitentiaires et journées de divertissement, à nouveau "de sa propre faute", parce qu’il "n’aurait pas du choisir Bruxelles pour adresse de réinsertion et de réhabilitation. [...] Tous ces idiots et ces organisations feraient mieux d’écrire que M. Vervloesem a été condamné d'une manière légale. [...] Nous ne voulons pas de lettres sur 'le meurtre de Marcel Vervloesem'. [...] Cour européenne des droits l’homme ou non, cela nous intéresse pas. Il a été condamné en Belgique en toute légalité. S'il admet sa culpabilité, il gagnera tout. C'est aussi simple que ça", a dit l'invincible génie.

    Le tribunal de Turnhout instruit les plaintes de trois prisonniers contre de ce fonctionnaire. Nous invitons les plaignants à demander un examen de recherche de toxiques pour définir s'il se drogue, au motif qu'il en porte tous les stigmates, dont une irresponsabilité morbide aigue. C'est aussi simple que ça!

    La seule solution pour arrêter l'abus de situation de faiblesse des prisonniers est de confier à l’armée de diriger les prisons, à la mode militaire, strictement selon le règlement, avec Cour Martiale pour les soldats qui se laissent tenter par la drogue.


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    Infraction à la Législation des Stupéfiants

     

    Le Samedi 23/01/10 à 18h30 se présente au domicile de mon frère Adulte Handicapé le Gendarme Golf (Code Radio) qui me demande les raisons de l’envoi de mon courrier en date du 20/01/10 au DGGN, le Général d’armée Roland GILLES, mais également à L’ITGN, et à bien d’autres personnes…

     

    J’ai simplement répondu au Gendarme Golf que je ne m’appelais pas JAMBERT, ni ROUSSEL , ni ROCHE ( Beaucoup Trop de Monde comprendra malheureusement mon comportement ).

     

    Je lui ai imprimé sur le matériel informatique de mon Frère, le courrier en date du 23/01/10 transmis au commandant LUHERN de la Brigade de Gendarmerie de Mandelieu.

     

    Nous avons évoqué le fait que je ne retirerai pas ma plainte même si tout cela semblait apparemment anodin et que je me réservais toutefois le droit de l’utiliser ultérieurement.

     

    J’ai déclaré au Gendarme Golf que je soupçonnais certaines plaignantes d’être souvent en ILS devant l’établissement concerné pendant qu’elles venaient chercher leurs enfants.

     

    En effet, tous les services de Police ou de Gendarmerie qui semblent s’intéresser aux nombres de jours consécutifs que je porte à l’attention de mon frère lourdement handicapé afin d’empêcher à moyen ou long terme la réinscription de mes enfants sur la commune de Mandelieu le Napoule en précisant que je suis reçu trop souvent chez mes parents, n’ont jamais remarqué que je me garais parfois sur le parking situé au 22 avenue Janvier Passero environ 30 minutes avant la sortie des classes.

     

    A cet endroit bien particulier, je peux facilement voir tout ce qui se passe, devant l’immeuble le Grand Près.

     

    Donc si je faisais partie du service des stupéfiants dont la charge incombe autant à toute BT ou BR et autres mais aussi à tout fonctionnaire de PN ou PM, je ferai une enquête serrée concernant les locataires de cet immeuble qui se trouvent à 200 mètres de l’école Marie Curie.

     

    Ce qui interpellait le Gendarme Golf même s’il m’a déclaré qu’effectivement l’ILS était un délit très grave à ses yeux comme aux miens, c’était paradoxalement mon adresse ; même si la loi ne m’impose pas de rester chez mon ami à MANDELIEU où j’ai domicilié mon contrat d’assurance habitation ; plutôt que d’aller porter assistance régulièrement avec mon épouse, à mes parents âgés et usés par notre situation sociale bien particulière ainsi qu’à mon frère lourdement handicapé.

     

    Il apparaît clairement que les incidents du 15/09/09 au 18/09/09, les menaces qui ont suivi devant des caméras et des témoins assermentés prouve que la bulle volontaire ou involontaire qui couvrait les ILS ou autres infractions de certaines personnes qui se sentaient apparemment au dessus des lois, a subitement explosé.

     

    La difficulté de réinscription de mes deux enfants dans la commune de Mandelieu la Napoule où je réside prouvera à moyen ou long terme l’acharnement social de certains fonctionnaires qui ne semblent pas véritablement apprécier les faits probants que je dénonce comme l’impose la loi et qui font paradoxalement une enquête sociale sur ma famille alors qu’une attention particulière de tous mes faits m’est imposé depuis l’émission de mon rapport de pédophilie à CANNES en 2001.

     

    PS : Je me réserve le droit de diffuser cet article à l’ensemble des autorités de Police et de Justice Européennes afin que cesse l’attitude de l’Administration Française qui focalise sur les détails de la vie de l’ensemble de ma famille alors que des crimes ou des délits flagrants sont couverts depuis bien trop longtemps par la puissance sociale de certains politiques qui souhaitent que mes enfants soient scolarisés dans cette belle ville de CANNES où tout le Monde connaît les liens particuliers qui me lient à son Député Maire, Monsieur Bernard BROCHAND qui règne avec son équipe municipale bien particulière et même plutôt atypique sur toutes les administrations de sa commune y compris sur l’ensemble des établissements scolaires qui pourraient bien vouloir exposer volontairement mes enfants à un traitement aussi particulier que celui que je subis avec mon épouse depuis des années.


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